I'd risk the moon & stars if I can have your sky...

Just be mine. ♡

je ne suis qu’un gamin capricieux & narcissique. Quand j’étais petit, ma mère n’arrêtait pas de me répéter que j’étais le plus beau bébé du monde, faut croire que j’ai continué à le penser jusqu’à ce que je devienne le mec que je suis maintenant. Je suis très légèrement bourru, je n’arrive généralement pas à m’exprimer correctement & il m’est très difficile de ne pas penser avec mes poings avant de penser avec ma tête ……….. je suis bagarreur, j’aime me battre mais le pire c’est que j'ai ma petite réputation au pays et j'en suis fier. On pourrait croire que mon rêve est de devenir parrain de la pègre mais pas du tout. Je veille juste à protéger ce & ceux qui me sont chers. Hormis ça, j’suis plutôt quelqu’un de fiable. Si tu me demande quelque chose, je le ferais à cent pour cent & quand je donne ma parole, ce n’est jamais pour rien. Je suis toujours impliqué & j’mets du cœur à l’ouvrage que ce soit pour aider un ami ou pour récupérer ce que l'on me doit, avec moi on a qu'une seule parole. Je suis toujours fidèle à moi-même. Sinon je suis très craintif & même parfois méfiant. Je n’aime pas trop que l’on me touche et lorsqu’une personne devient trop tactile avec moi, je me sens soudainement obligé de la repousser sans en connaître vraiment la raison. Ma mère me répétait tout le temps que je devais être misanthrope, cela doit être pour ça.

Confrérie ➜ SIGMA CHI. Années d'ancienneté ➜ quatre ans.

pourquoi pas ? Majid est un mec qui, malgré ses aspirations à glander h24, aime faire du sport presque tous les jours. Il aime prendre soin de son corps et cela se voit ! Il pratique la musculation et la boxe très régulièrement mais il aime aussi jouer au foot ou tout autre sport collectif. mais ce n'est pas tout : il aime aussi sortir, déconner, boire et s'amuser. de part ses origines, Majid est un mec un peu macho, qui pense qu'aimer une femme se résume à l'épouser et à la mettre derrière les fourneaux. il aime draguer, il aime séduire, il aime plaire mais malgré tout, il n'est pas un homme à femme même s'il avoue volontiers aimer jouer à l'inaccessible. derrière son côté un peu dur, il attend en fait la femme qui le fera changer d'avis sur les femmes.

Pour intégrer les Sigma Chi, j'ai du faire quelques défis. Tout d'abord, je devais faire la promotion de notre fraternité en distribuant des préservztifs à notre effigie habillé d'un simple boxer rose. Ensuite, j'ai du me déguiser en mascotte animale ou plutôt en chien et faire des tours du campus en courant. La dernière chose que j'eus à faire fut de draguer une nana en lui faisant une fausse déclaration d'amour.

01. j'aime dormir. OH QUE OUI. dès que j'ai un peu de temps libre, je file sous ma couette pour faire un petit somme seul ou accompagné. 02.  j'ai plein de tatouages, j'adore ça et je ne compte pas en rester là.  03. sinon j'suis un mec cool, on me qualifie facilement de bad boy et pour ce, je fume pas mal et j'aime m'éclater. 04. plus jeune, je n'aimais pas le chocolat, maintenant j'arrive à en boire avec du lait chaud. 05. je n'aimais pas particulièrement la mode mais maintenant que je travaille, je me sens obligé de mettre des habits assez classe et de marques. 06. J'étais accro aux bonbons & autres sucreries mais depuis que je suis adulte, j'ai remplacé cette addiction par une autre : la cigarette. 07. J'ai peur du noir et je dors souvent accompagné d'une veilleuse. cela fait souvent fuir les nanas ... J'aime pas les clowns, ni les pères noël. à cause de cette stupide fois au centre commercial & où ma mère m'a forcé à monter sur ses genoux. j'ai fini traumatisé ... 08. sinon, je pratique régulièrement la muscu' et la boxe pour entretenir mon corps. j'y vais au moins trois fois par semaine et même si je n'ai plus beaucoup de souffle à cause de la fumette, j'm'en sors plutôt bien pour le moment.  

Quand on s’appelle Al-Rahji et qu’on nait un certain jour du mois de novembre 1991 en plein cœur de la sublime Ryad, on commence à se poser des questions quant à sa condition d’être humain …

Je suis né dans une famille aimante. Un père qui suivait la tradition et qui n’était pas souvent présent mais qui, au fond de lui-même, aimait sa famille plus que tout ; une mère douce et attendrissante qui s’occupait toujours plus de moi que des autres de la famille. Oui, parce que j’avais un frère plus âgé et une sœur aussi, plus jeune que moi mais c’était à croire que j’avais toujours été son préféré. Ou alors je rêvais peut-être inconsciemment que cela soit le cas. Je suis donc né au sein d’une famille très musulmane et pratiquante si bien que dès que je fus en âge de comprendre les choses, ma mère me mit à l’école coranique où l’on apprenait aussi bien les mathématiques et l’arabe que la religion. Cela m’avait toujours fasciné. J’aimais quand on parlait de religion depuis que j’étais tout petit et franchement, je n’aurais jamais cru que cela serait un jour un point de discorde entre ma conscience et mon cœur.

Je grandissais, doucement mais sûrement au sein d’une société qui se voulait étrangement tyrannique. Je n’avais pas particulièrement peur de ce pays, j’aimais au contraire beaucoup être ici et pour cause, mes parents étaient riches grâce à mon père et je ne manquais jamais de rien. Mon paternel était en fait le dirigeant d’une grosse entreprise spécialisée dans le pétrole et du coup, bah … cela faisait de lui l’un des plus riches hommes d’affaires du Moyen-Orient. Malgré cela, j’allais à l’école comme tous les petits garçons de mon âge et je me faisais pleins de copains. Que des garçons … parce que les filles ici, c’était tabou. On ne devait pas trop en fréquenter avant de se marier et lorsque l’on pouvait les voir, c’était uniquement de loin. Alors je grandissais, en jouant au football avec les potes ou en allant manger des bonbons chez l’épicier du coin. J’avais le droit à tout cela malgré le fait que ma famille était différente de celle des autres garçons de mon quartier. Je continuais de grandir et c’est là que les ennuis commencèrent. Vers l’âge de dix-huit ans, je commençais à sortir en boîte, à fumer des choses pas très légales et lorsque mon père l’apprit de la bouche de ma mère, il n’eut qu’une seule réaction : la colère. C’est ainsi qu’il me quittait pour la dernière fois car je ne le revis plus jamais après ce drame. Drame car pour moi, mon père m’avait quitté sur une dispute et je n’aurais jamais pu lui présenter mes excuses. Il partit donc le lendemain de notre altercation afin de se rendre à un congrès très important qui devait se dérouler à Damas, non loin de chez nous, en Syrie. Je n’avais qu’une seule hâte, c’était qu’il rentre pour que je lui dise enfin que j’étais tellement désolé pour tout ce que j’avais pu faire … malheureusement, ce fut ma mère qui m’apprit quelques temps plus tard que mon père avait péri dans un attentat à la bombe au cœur de la capitale syrienne. Et là, je sus que je ne m’en remettrais jamais. Jamais. Après plusieurs mois de coma dans ma chambre, je reprenais vie peu à peu. L’enterrement de mon père avait été particulièrement éprouvant pour moi tout comme ma mère et je devais dire que depuis tout petit, il avait toujours été mon modèle de droiture et de prestance. Je perdais beaucoup en le voyant s’éloigner de moi…

Ma mère me demandait ensuite de reprendre les rênes de l’entreprise familiale. N’ayant jamais fait cela avant, je me contentais de prendre la place de PDG tout en  assurant mes études à côté. Pendant presque six ans, je me formais auprès de certains conseillers que mon père avait embauchés et qui me semblaient plus que qualifiés pour m’aider dans ma tâche, apprenant sur le tas comment diriger mon entreprise. Je ne pensais qu’au travail et à mes études, à ma mère esseulée qui commençait à perdre la tête … je voyais bien que l’absence de mon père lui pesait si bien que je ne savais plus comment m’y prendre avec elle. Je voyais bien que la maladie la rongeait mais je ne savais que faire. C’est alors que quelques jours plus tard, alors que je rentrais du boulot, je vis une sorte de « réunion de famille » dans le salon. Je m’approchais, saluant nos invités et c’est à ce moment-là que ma mère m’avouait que je venais de rencontrer ma « future belle famille ». J’en restais bouche bée, ne sachant que dire ou que faire. Puis, lançant un regard froid à ma mère, je regagnais ma chambre sans dire le moindre mot de plus. Je ne voulais rien savoir d’eux. Ils n’avaient même pas eu la décence de ramener leur fille avec eux… j’me sentais minable. Suite à cela, je me plongeais encore plus dans le boulot, ne rentrais qu’à des heures peu respectables et c’est cela qui finit par achever ma mère. Elle perdait la raison, oubliait souvent ce qu’elle avait fait ou même j’avais l’impression qu’elle créait des souvenirs. Elle allait me rendre dingue. La seule chose qu’elle semblait ne pas oublier était cette idée de mariage. Au début, je n’étais pas pour mais au final, je me résignais à accepter ce que ma mère voulait pour ne pas qu’elle sombre encore plus. Je tenais à elle plus qu’à tout et je ne voulais pas qu’elle souffre encore plus à cause de moi. Je soupirais alors que je me retrouvais dans un avion direction Chicago aux States. J’allais enfin pouvoir rencontrer celle qui allait devoir partager ma vie et honnêtement, je n’étais pas si emballé que ça à l’idée de devoir me macquer avec une totale inconnue … j’avais peur. Je ne savais pas non plus pourquoi elle habitait Chicago et aller vers l’inconnu ne me mettait pas particulièrement à l’aise, surtout vu ce que j’avais fait à ses parents quelques temps auparavant. je prenais simplement mon courage à deux mains...

zayn malik - inventé