"Pour ma part, je suis hétérosexuel. Mais il faut le reconnaître, le bisexuel a deux fois plus de chances le samedi soir. " Woody Allen
Nom complet ➜ Morgan Crankies
Âge ➜ 30 ans
Date et lieu de naissance ➜ 3 Juillet 1985 à Chicago
Nationalité ➜ Américaine
Origines ➜ Inconnues
Situation financière ➜ Moyenne
Etat civil ➜ Célibataire
Préférences sexuelles ➜ Bisexuel
Activité professionnelle ➜ Infirmier pédiatrique
Études ➜ Bachelor of Science degree in Nursing
Bienveillant - Lunatique - Extraverti - Rancunier - Impliqué - Volage - Optimiste - Susceptible - Méthodique - Capricieux
My little secrets01. Je suis le fruit d'un viol.
02. Je pense bientôt renouer avec mon père biologique, pour venger le fait que mes parents adoptifs refusent ma bisexualité.
03. Je viens d’une famille très catholique. Je tourne donc la religion très vite en dérision.
04. On fait souvent les 400 coups avec ma sœur.
05. J’adore les soirées arrosées. Je me retrouve souvent dans des états lamentables.
06. Je reçois beaucoup de coups de téléphone de ma sœur en pleurs. Je sais alors pertinemment qu’elle à embrassé une fille.
07. Le prêtre de la paroisse me servais énormément de garde-fou. Chaque bêtise me faisais envoyer vers lui.
08. Ma première fois avec un mec à eu lieu lors de mes vingt ans.
The story of my life
L’histoire que je vais vous raconter, c’est l’histoire de ma pauvre vie. Oui, pauvre est certainement un bien grand mot, mais celle-ci à bien mal débutée. Je suis né dans la nuit du 30 janvier 1986, à l’hôpital de Chicago. J’étais un enfant non désiré, mais ma mère n’a jamais voulu avorter. Elle venait d’une bonne famille très catholique et très pratiquante. Pour les parents de ma mère biologique, il était strictement impensable de faire un enfant avant le mariage. Ils pouvaient concevoir avoir des relations plus ou moins sérieuses, mais jamais d’enfants avant le mariage. Elle à tant bien que mal cacher cette grossesse. C’est alors qu’après m’avoir mis au monde, elle à m’a abandonné. Trop peur de la réaction de sa famille.
Quant à mon père, c’était un jeune homme qui à croisé le chemin de ma mère. Il était un peu plus vieux qu’elle et n’a eu de meilleure idée que de la forcer à coucher avec lui. Dans ce cas de figure, nous pouvons parler de viol. Je suis le résultat d’une forme d’agression. Puis parait-il qu'il est entré dans les ordres pour tenter de fuir à la justice. Je crois que même avant ma naissance, j’ai eu un besoin d’existence urgent. Quoiqu’il arrive, à peine né, je me retrouvais orphelin. Mais pas pour très longtemps.
Mes nouveaux parents, cherchaient tant bien que mal à concevoir un second enfant. Devant l’impossibilité immédiate de concevoir, ils avaient décidé d’adopter. Je fus donc l’heureux élu qu’ils sortirent de sa misère pour devenir leur fils. Malgré mon passé peu glorieux, l’avenir promettait d’être meilleur. Un père, une mère, une sœur qui eux, m’aimaient. Bref, j’avais une famille. Je grandissais dans un environnement ou mes parents adoptifs étaient très catholiques. A cette époque, j’étais une petite tête blonde qui était plutôt perturbatrice. J’aimais faire les quatre cents coups avec Malcolm, mon frère. Nous deux, nous étions partis pour de longues années d’âneries sur âneries. Le fait de partager beaucoup de choses à fait que nous sommes devenus très soudés avec Malcolm.
Puis les années passèrent tellement vite que je me retrouvais déjà à l’adolescence. Je me rappelle encore que nous faisions les quatre cent coups avec ma sœur. Mais elle qui était plus âgée que moi, nos âneries étaient moins infantiles que nos périodes juvéniles. Les premières soirées alcoolisées, les premières rencontres amoureuses. Mes premier es années de débauches étaient enfin arrivées à grands pas. Ce qui évidemment n’était pas au gout de mes parents, presque trop conservateurs et très catholiques. Très souvent, comme mon frère, je fus envoyé chez le prêtre de la paroisse pour aller me confesser. C‘est drôle à dire, mais le prêtre était presque devenu un ami personnel.
Puis je me retrouvais au lycée, puis à l’université. Il était aussi vrai que c’était à cette période que j’avais commencé à me poser des questions sur mes origines. En effet, de plus en plus d’amis me disaient que je ne ressemblais pas beaucoup à mes parents. Mais j’avais déjà fait moi-même cette réflexion, cherchant à poser mes questions. J’avais toujours senti un vague autour de cette question, mais en même temps, j’avais eu l’impression qu’on cherchait à me le faire comprendre. Puis un jour, quand j’avais eu dix huit ans, j’ai décidé d’aborder le sujet, sans tabou, très directement.
C’est là que mes parents adoptifs confirmèrent mes soupçons. Sachant déjà presque pertinemment la réponse au plus profond de moi, je ne fus guère étonné d’apprendre tout cela. Mais un beau jour, mon père me prit à part, quelques jours plus tard après cette fameuse nouvelle. Il voulait m’en dire plus. Plus de choses que ma mère préférait ne pas dire. Mais mon père avait estimé que j’étais suffisamment prêt pour entendre la suite de l’histoire. En effet, il m’avoua que le destin de ma mère était inconnu, puisque rien n’as transparu dans mon dossier. Quant à mon père biologique, du moins, mon géniteur comme je l’appelais, il m’apprit que celui-ci était rentré dans les ordres quelques semaines après ma conception. J’étais donc le fils d’un religieux…
Les années s’enchainèrent. Après le lycée, j’ai fais mon bout de chemin. Je me suis orienté vers une formation d’infirmier. C’est au cours de mes études et mes stages que j’ai su apprécier le milieu pédiatrique. J’ai donc poursuivi ma formation et j’ai obtenu avec succès mon diplôme d’infirmier. C’est durant mes trois années d’études supérieures que j’ai commencé à fréquenter sérieusement des filles. Fréquenter les filles et participer de plus belle aux soirées étudiantes. Mais un beau jour, à la sortie d’une journée de stage, il s’est avéré que je me suis retrouvé attiré par un autre étudiant infirmier. Il s’en est suivi quelques jours plus tard d’un échange de baiser plutôt inattendu. Après ceci, il n’y guère eu de suite concernant cette « amourette », mais j’en ressortais avec une certitude, je me considérais comme bisexuel.
J’assume pleinement ma vie de bisexuel, sauf peut être auprès de mes parents qui sont eux, très conservateurs. Pour eux, il n’y à que le modèle papa + maman de viable. Bien évidemment, Malcolm est quant à elle au courant. J’ai toujours assumé mon penchant pour les deux sexes, partant avec le temps du principe que nous n’aimons pas un sexe, mais une personne.
A l’heure d’aujourd’hui, j’ai récemment fêté mes trente ans. Je suis maintenant autonome financièrement, totalement indépendant de mes parents et vit dans mon chez moi. Quand je suis dans ma période ou je préfère les hommes, j’évite de leur amener le dimanche durant les repas de famille. Il y à certains sujet à éviter.
J’exerce mon métier d’infirmier pédiatrique à l’hôpital de Chicago. De temps à autres, je fais quelques permanences à l'hôpital universitaire. Peut être qu’un jour je penserais à m’installer en libéral. Mais pour le moment, là n’est pas la question. Je vie ma vie pleinement, à fond… avec un ex-violeur & ex religieux qui cherche à renouer avec le fruit de son agression. En effet, depuis quelques mois, mon géniteur cherche à refaire surface pour me rencontrer. Quoiqu'il advient, peut être qu'un jour, je lui accorderais un peu de mon temps. Histoire de comprendre son geste. Mais pas aujourd’hui, j’ai un infirmier à draguer.
Quant à ma mère, il parait quelle est directrice de l’hôpital de Chicago. De surcroit, j’aurais aussi un demi-frère, étudiant infirmier. Je travaillerais donc sans le savoir avec ma mère biologique et on demi-frère sur le même lieu. Bien entendu, tout cela, je ne le sais point. Mais tout cela me tombera bien assez rapidement sur le coin du nez. Dois-je me préparer à rendre rendez vous chez les collègues de la psychiatrie ?
Pseudo ➜ Numa
Âge ➜ 25 ans
Pays ➜ France
Fréquence de connexion ➜ Presque tout les
Découverte du forum ➜ Via facebook et ma future soeur de RP
Avis ➜ Bienvenue chez les fous
Autres ➜ Turlututu chapeau pointu
Max Irons - Inventé