Stronger you are, Kinder they become.
Nom complet ➜
Sahara Oria Palmer. Pas très commun, il faut le dire. En réalité, c'est ma mère qui l'a choisit. Lorsqu'elle était jeune, elle a beaucoup voyagé, et l'endroit qu'elle a trouvé le plus incroyable aurait été le plus grand désart d'Afrique, d'où mon premier prénom.
Palmer est le nom de jeune fille de ma mère. J'ai changé à l'âge de 16 ans ne voulant plus rien avoir à faire avec l'homme qui prétendais être mon père.
Âge ➜ 21 ans
Date et lieu de naissance ➜ 2 Juillet à Camberra, Capitale australienne
Nationalité ➜ Australienne de naissance & Américaine depuis mes 12 ans, 2 ans après mon arrivée sur le continent américain.
Origines ➜
Australienne de par mon père &
Irlandaise par ma mère
Situation financière ➜ Aisée par le passé, mais plus
modeste depuis 4 ans, à partir du moment où j'ai décidé de vivre ma vie, loin des personnes qui m'étaient néfastes.
État civil ➜
Célibataire, encore et toujours et cela n'est pas prêt de changer. Les hommes sont des menteurs, profiteurs et je ne compte pas me laisser avoir. Alors autant profiter d'eux.
Préférences sexuelles ➜ Hétérosexuelle.
Cycle et année d'étude ➜ Bachelor Graduate, 4ième année
Diplôme préparé ➜1ière année de Master
Cursus majeur ➜ Littérature
Cursus mineur ➜ Langues
Ambitieuse - Déterminée - Battante - Joueuse - Malicieuse - Têtue - Impatiente - Impulsive - Altruiste - Extravertie - Fêtarde - Travailleuse - Insomniaque
My university life
Confrérie ➜
DELTA UPSILON.
Années d'ancienneté ➜ 3ième année
Les Delta Upsilon, c'est ma famille depuis maintenant 3 ans. Lors de ma première année à l'Université, je suis resté dans mon petit appartement miteux au sud de Chicago, pensant que j'y serai bien mieux que dans n'importe quelle confrérie. Finalement, j’avais tort. Et qu’est ce qui m’a fait changer d’avis ? Durant cette même année, j’ai beaucoup entendu parler de celle-ci, de par leur côté sérieux mais aussi pour le passage où ils sont présents à toutes les fêtes du campus ou presque. Ils m’ont intrigué, alors l’année suivante, j’ai tout simplement tenté ma chance. Je me suis tout de suite senti chez moi à leur côté, l’ambiance était bonne enfant, joyeuse, et même familiale, exactement comme je l’avais espéré. Même mon bizutage s’est trouvé être plus simple et drôle que je ne l’aurai pensé. Les deux épreuves qui m'ont le plus marqué sont la soirée où l'on devais se faire signer un maxium de fois le corps par des inconnus dans un bar, et celle où on a dut transphormer la piscine d'un prof en bain moussant géant. J’ai passé toutes les étapes assez simplement, m’amusant à chaque fois, et me découvrant petit à petit à travers ce nouvel univers. 3 ans après, je peux dire que je suis vraiment fière de faire partie de cette communauté, défendant des valeurs que je respecte réellement. Ce que j’aime le plus ? Accueillir les petits nouveaux ! Tous les ans, c’est un véritable bonheur de pouvoir partager et rire avec de nouvelles personnes. Alors même si ma famille est bien loin désormais, j’en ai trouvé une nouvelle à la hauteur de tout ce que je m’étais imaginée.
My little secrets01. Je déteste le café au plus haut point
02. Je suis insomnique depuis mes 18 ans, ce qui est à la fois une mauvaise et une bonne chose.
03. Je n'ai pas vu ni eu le moindre contact avec mon "père" depuis 4 ans.
04. Ma mère est morte exactement à la même époque. En réalité, elle s'est suicidée.
05. Je ne supporte pas qu'un homme ait le contrôle sur moi.
06. Je tiens mon père responsable pour la mort de ma mère, puisqu'au moment où elle se donnait la mort, il couchait avec sal*** de secrétaire.
07. Je ne peux pas supporter les filles superficielles et égocentriques.
08. Même si je sort beaucoup, je suis une travailleuse, et j'ai beaucoup d'ambition dans la vie.
The story of my life
Je me souviens encore de ce que je pensais de la vie quand j’étais petite. Je pensais que c’était beau, que les gens qui m’entouraient étaient des personnes biens, de confiance, avec des valeurs, je pensais que je serais heureuse toute ma vie, sans la moindre exception, et que je croyais encore au beau prince charmant qui me ferai vivre une histoire d’amour incroyable. Il faut croire que j’ai bien grandit.
Je suis née le 2 juillet 1994 à l’hôpital de Cambera, capitale de l’Australie. Ma mère était une femme incroyable. Douce, attentionnée, pleine de générosité et d’amour. Dans ses bras, j’étais la plus heureuse des petites filles. Elle me couvrait de tout ce dont j’avais besoin, et là je ne vous parle pas de choses matérielles. Elle était Irlandaise, et c’est alors que mon père était en voyage pour ses études dans ce doux pays, qu’ils se sont rencontrés. Folle amoureuse, elle l’a suivi à l’autre bout du monde. Quand j’étais petite, je pensais aussi que mon père était mon héros. Vous savez, cet homme qui vous protège des monstres et des méchants, je pensais qu’il était un modèle pour tous les hommes de la planète. Il était mieux, il est parfait, il était mon papa. (Comme quoi les choses changent). J’ai passé les 10 premières années de ma vie en Australie, dans une grande villa au bord de Cambera. Ma mère ne travaillait pas, elle gardait tout son temps pour s’occuper de moi et de ses tâches de femmes mariés à un grand homme politique. Je trouvais cela remarquable. Et puis, pour une raison professionnelle, mon père nous fit déménager à New York. Le choc des cultures. Je suis passé de la simplicité de la vie et la chaleur australienne, à ça. La grande pomme. La ville qui ne dort jamais. La pluie et le froid. Je n’ai jamais vraiment aimé cette ville, ce n’était pas chez moi, et ça ne l’a jamais été, mais je n’avais pas réellement le choix si ? J’ai donc continué ma vie, faisant comme si j’appréciais tout cela. L’année de mes 16 ans, j’eus l’incroyable chance de faire un voyage humanitaire au cœur des Philippines. Ce fut grandiose, incroyable, fabuleux et quand je suis revenu à New York j’avais changé. Je voyais la vie différemment, j’étais plus généreuse et plus douce, comme ma mère. Tout allait bien pour moi. J’étais heureuse, mes années lycées se passaient très bien, j’étais la fille lambda qui passe inaperçu et donc que personne embête. Et puis j’ai commencé à être insomniaque sans réelle raison. A cette époque-là, personne n’était au courant, je ne pensais pas que cela soit très grave et après tout, j’avais encore plus de temps pour travailler, dormant seulement 2 à 3 heures par nuit. Et puis un jour, tout ce petit bonheur bascula. Il bascule toujours non ?
Le mardi 8 juin de l’année de mes 18 ans, alors que j’allais finir les lycées et prendre mon ticket pour l’université de New York pour rester proche de ma mère, je suis, comme à mon habitude, rentré à la maison vers 16h. Mon père était de plus en plus absent ces dernières années, prétextant que son travail était de plus en plus important et qu’il pourrait bientôt avoir un poste encore plus haut placé. Quand je passais la porte, appelant ma mère, je n’eus aucune réponse. Ce qui me parut étrange puisque sa voiture était devant et qu’elle était toujours présente à mon retour des cours. Quand je l’ai trouvé, inerte, sur son lit, le teint terriblement pâle, une boite de pilule vide sur le sol, ma vie s’est effondrée avec elle. Elle n’avait pas montré la moindre faiblesse, voulant me préserver, c’était ce qu’elle avait écrit dans la lettre qu’elle avait laissé à mon attention. Elle me disait qu’elle m’aimait et ne cessait de répéter à quel point elle était désolé de me laisser tomber, mais qu’elle n’avait plus la force. C’est aussi à l’intérieur de cette lettre que j’appris la raison de son malheur. Depuis des années, l’homme que je pensais être mon héros n’était en réalité qu’un imposteur, un rat, un monstre. Ma mère s’était donné la mort parce qu’elle ne supportait plus de le savoir couchant avec toutes les femmes qui croisaient sa route et ce depuis des années. Il nous avait menti, nous avait trahis. Il venait de changer ma vision sur les hommes et si la vie en elle-même. Les hommes étaient donc des profiteurs, égoïste, bien trop fier qui savait tellement bien se jouer de nous. A partir de ce moment-là, il était hors de question que je laisse, un jour, un homme profiter de moi comme mon père l’avait fait avec ma mère, sa propre épouse. A l’inverse, j’utiliserais les hommes à ma manière, quoi qu’il arrive, prenant toujours les devants. Sans même prendre le temps d’y réfléchir, je pris la décision de partir très loin de mon père et ce le plus vite possible. Je pris alors mon second choix d’université pour premier, et me retrouvais ainsi étudiante à Chicago. Une toute nouvelle vie commençait devant moi. Je me mis à coucher avec des hommes. Une, deux nuits, jamais plus, profitant du peu de plaisir qu’il avait à m’offrir sans jamais qu’il n’y ait plus que du sexe. Je me mis dans mes études, ne voulant jamais être dépendante à qui que ce soit et me construire un avenir brillant. Et puis au sein des delta upsilon, j’appris à vivre ma vie comme je l’entendais avec des personnes qui partageait mes valeurs, et qui ne se posait pas de questions quant à ma vie personnelle et mon passé.
Aujourd’hui, face à l’idée que je me faisais de la vie en tant que petite fille rêveuse, mon opinion a bien changé. La vie n’est pas qu’un petit fleuve tranquille plein de jolis reflets de lumière, loin de là. J’ai appris que les gens sont loin d’être tous des personnes qui méritent notre gentillesse et notre confiance, surtout les hommes, et ces femmes qui se croient fortes mais qui se font manipuler par ces profiteurs. Alors je suis peut être toujours joyeuse et joueuse, mais je sais où sont les limites, et je sais aussi que je dois être celle qui se joue de lui, pour qu’il ne puisse jamais se jouer de moi.
Pseudo ➜ Hope
Âge ➜ 21 ans
Pays ➜ France
Fréquence de connexion ➜ Toute la semaine en journée mais pas les soirs ni week end
Découverte du forum ➜ depuis facebook
Avis ➜ PARFAIT. ♥
Autres ➜ Let's get the party started !
Bridget Satterlee - inventé