| | Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:18 | |
| Xánthos-Nael Elias Byrd Diego BarruecoNé le sept avril 1993 à Caire (Egypte), j'ai 22 ans et suis de nationalité Égyptienne. Si vous voulez en savoir un peu plus sur moi, sachez que je suis plutôt modeste et que je le vis bien ! Actuellement célibataire, je tiens à préciser que je suis plutôt du genre hétérosexuel, à tendance bi... Désolé(e) d'avance pour les cœurs brisés. Diplôme préparé : bachelor/master/doctoratCycle & année d'étude : Undergraduate, quatrième annéeCursus majeur : sportSpécialisation : boxeCursus mineur : medecine | |
Personnalité & addictions Drôle - 50% Réfléchi - 30% Créatif - 60% Travailleur - 70% Fêtard - 80% Narcissique - 50% | Artiste - 60% Amical - 40% Jaloux - 60% Méfiant - 70% Sportif - 60% Prude - 20% | Généreux - 40% Têtu - 50% Hautain - 30% Séducteur - 60% Honnête - 40% Joueur - 50% |
Alcool : 50% | Drogues : 75% | Sexe : 75% |
Renseignements multiples Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? Tout simplement parce que c'est ici ta place, auprès de ta mère, de ta sœur. C'est l'unique famille dont il te reste et tu te vois pas les quitter. Pas au moment où elles auront probablement plus besoin de ton soutien et puis, sans la bourse qui t'a offert en boxe, tu n'aurais surement jamais eu cette chance, autrement. Du coup, c'était une occasion que tu ne pouvais pas laisser tomber. Au moins, comme ça, peut-être que tu pourrais subvenir au mieux à ta famille. Quelles sont vos sources de financement universitaire ? En priorité ta bourse, mais étant donné que tu n'as pas seulement ta petite personne à t'occuper, le montant qui t'es attribué ne suffit pas vraiment à subvenir à vos besoins, ta mère, ta soeur et toi. Du coup, tu combles les fins de mois avec des petits boulots qui ne sont souvent pas très légaux et si te mets d'ailleurs, régulièrement en danger. Après tout, tu te débrouilles comme tu peux, comme tu'as toujours su le faire. Que pensez-vous du système de confrérie ? Vu de l'extérieur, tout ça pour toi ne fait qu'accentuer les stéréotypes, ainsi que les nombreux préjugés. Il met en valeur quelques traits qui ne sont souvent pas très flatteurs, ainsi, les gens te jugent selon ta confrérie avant même de te connaitre un au minimum. C'est comme si tu avais tatoué sur le front " ATTENTION : Connard en rut.'' Dans un sens, ça limite. Mais, comme toute chose, il y a aussi de bon côté. Quoi qu'il en arrive, tu sais que tu pourrais toujours compter sur tes confrères, la solidarité masculine, c'est le bien. Aussi, cette ambiance un peu déjantée, ça te permettrait de penser à autre chose qu'à toutes les merdes dans ta vie, ça pourrait devenir pour toi une sorte d’échappatoire, ta seconde maison. Finalement, tu as aussi l'intégration qui semble plus facile à l'intérieur d'une confrérie. Tout ce fait dans un laps de temps suffisamment court et ainsi, tu te sens rapidement à ta place et t'as besoin de sa, présentement dans ta vie, te sentir bien au sien d'un groupe, d'un endroit de te sentir intégrer, soutenu, parmi les tiens. D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? réponse ici (cette partie est TRÈS importante car c'est elle qui déterminera votre acceptation dans la confrérie choisie. Il faut donc détailler vos motivations pour entrer dans cette confrérie, expliquer pourquoi elle et pas une autre, en quoi vous vous sentez proches de vos frères & soeurs étudiants... Si vous avez plus d'un an d'ancienneté, vous avez déjà passé l'année de bizut ; il convient donc d'en parler afin que l'on sache comment vous y avez survécu. A ce stade, le Doyen ou le président de la confrérie en question viendra poster pour vous dire si oui ou non vous pouvez intégrer cette confrérie ; si oui, vous pourrez continuer votre fiche et parler de votre confrérie dans votre histoire. Si non, vous devrez changer de confrérie et parler de ce rejet dans votre histoire également, tout en replaçant bien évidemment les faits à l'époque où ils ont eu lieu (selon votre ancienneté).) | Moi c'est effet mer. !J'ai 21 ans, je suis une fille et je vis au Québec. J'ai découvert le forum via le sujet du projet et je le trouve accueillant, à priori ! Sinon, je serai connecté(e) sept jours sur sept, quelques heures, tout les jours et je devrai pourvoir RP environ 3 fois par semaine. |
Dernière édition par Xánthos-Nael E. Byrd le Mer 5 Aoû - 2:13, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:18 | |
| Biographie « Sur la table, un vieux livre poussiéreux. Un jeune homme trop curieux. Un coup de vent ; le livre s’ouvre. Les pages tournent et tournent sans que l’on puisse les arrêter. il pose les yeux dessus, il n’aurait pas dû. C’est ainsi que débuta ton histoire. « Il était une fois… » Non. Toutes les histoires ne commencent pas par il était une fois. Et aujourd’hui, voilà où tu en es : “ She took everything, I gave her most things and she snorted more things. Now she calls me crying and wants me to forgive, but she never said sorry for destroying me. I can’t forgive her, again. She lies, cries and I still love her. She has all the broken pieces of me. ” Tu n'aimes pas raconter ta vie, mais puisqu'il le faut… Ta naissance s'est faite sans ton père, ce dernier vous a lâchement abandonné ta mère et toi. Mais peu importe, tu n'as jamais manqué d'une présence paternelle, peut-être que ta mère si, néanmoins elle ne t'as presque pas parlé de lui. Elle t'as raconté la fois où il a claqué la porte, plus précisément la dernière fois qu'elle l'a vu. Elle t'as avoué l'avoir aimé, avoir rêvé de fonder une famille avec lui mais finalement l'amour n'a pas eu raison d'elle. Ta mère, tu l'aimes et tu la respecte puis elle est la seule pour qui tu es capable du meilleur. Un homme riche l'a épousé quand tu n'avais que six ans. Tu ne l'apprécie que trop peu. Il ne t'aspires pas confiance. Mais il restera le père de ta sœur née deux ans plus tard. Elle est la bonté incarnée. Tu déconseilles quiconque de lui faire du mal. Tu la considères encore comme une môme. Tu es peut-être un peu trop protecteur envers elle et elle ne cesse de te le rappeler. Tu as sombré dans la délinquance durant l'année de ton seizième anniversaire. Tu t'es donné l'occasion de devenir une mauvaise fréquentation sans t'en rendre compte. Tu t'es écarté de ta famille pour ne pas l'attirer dans tes problèmes. Tu t'en veux de ne pas être le fils modèle, d'avoir laissé ta mère payer ta caution chez les condés. Tu as aussi tabassé le copain de ta sœur. Ce minable a levé la main sur elle. Tu lui as donc rendu la monnaie de sa pièce, rien de plus. Il l'a plaqué et elle te l'a reproché entre deux larmes. Tu es moi aussi tombé amoureux. Quelle erreur. L'amour m'a donné des ailes, pour ensuite te les arracher. L'année suivante, ton beau-père t'a viré de chez lui, sans que ta mère proteste. Tu étais d'après lui, un mauvais exemple pour sa fille. Il te prend pour un vaurien, un mec sans avenir et qui entraîne ta petite sœur dans ta déchéance. Ta petite amie t'as proposé de la suivre dans sa ville natale, Perth. Tu l'as donc suivi. Tu as laissé des personnes derrière toi, ta mère et ta sœur, bien que tu n'avais plus l'autorisation de les voir. Tu as aussi abandonné ta meilleure amie. Tu as passé deux ans là-bas, la raison de mon retour ? « Tu viens m'annoncer, la voix tremblante que tu retournes avec ton ex ?! » Tu étais blessé… une plaie s'était formée au niveau de ton cœur. Tu étais tombé amoureux pour la première et dernière fois. Elle retournait avec son ex qu'elle n'avait pas revu depuis cinq ans et qui l'avait humilié en la trompant avec une autre. Tu ne voulais plus la voir. Ton cœur se referma… « Xanthos, pardonnes moi. » Elle plaisantait ou quoi ? Tu ne voulais pas lui pardonner. Elle laissa couler quelques larmes, ce qui ne te toucha pas. Tu étais trop énervé contre elle pour la prendre dans tes bras et la consoler. Tu restais là devant elle, sans dire le moindre mot. Elle se rapprocha de toi comme pour te faire une accolade. Tu reculais d'un pas rapide. « Gardes tes larmes et tes remords pour d'autres. » Tu avais beaucoup laissé pour elle. Tu étais même devenu quelqu'un de bien, un mec sans histoire. Elle s'empressa de sortir de chez toi, tout en pleurant et marmonnant une dernière phrase. « Mes sentiments envers toi étaient sincères. » Elle se foutait de toi ou quoi ? Tu t'en fichais. Elle allait retourner dans les bras de son ex en osant te dire une telle chose. Tu fermais la porte derrière elle, sans enrichir votre conversation. Tu t'installes sur ton canapé. Tu l'aimais encore… Tu allais la détester. Tu as ensuite noyé ta colère dans l'alcool et ta mésaventure amoureuse dans les bras d'un tas de filles différentes. Tu as continué ta débâcle de nouveau en ville. Tu es encore exclu par le mari de ta mère qui impose ses lois. Il t'empêche de voir ta famille. Tu te faufile alors chez eux le soir, pour voir ta sœur. Tu passes quelques minutes avec elle. Tu t'assures qu'elle va bien. Elle te dit que oui. Tu n'en es pas sûr. Tu n'as aucune confiance en ton beau-père mais ce n'est peut-être pas lui la cause. Tu connais d'ailleurs le responsable, celui qui la rend maussade. “ I was way up high on some sort of diving plank and looking down to orientate myself was about the last thing I wanted to do. The whole experience was nauseating. I had the feeling a pool full of regret was waiting for me at the end of the plank and I was in no way ready to confront it. ” La vie n’a pas été tendre avec toi, ses dernières semaines, à ton retour à Miami, tu as dû faire face à plusieurs dilemmes. Le premier et sûrement avait été de te trouver un toit ou dormir. Après avoir quitté ta ville natale, depuis deux ans, ce n’était pas une chose qui allait être des plus simples. Cette fois, tu savais que tu ne pouvais pas compter sur ta meilleure amie, pas avec ce que tu lui avais fait. Tu es encore exclu par le mari de ta mère qui impose ses lois. Il t’empêche de voir ta famille, même si tu sais pertinemment que ta place est là-bas, avec ta sœur et ta mère. Elles ont besoin de toi, et ce plus qu’elles ne pourraient l’imaginer. Parfois, tu te faufiles chez eux le soir, pour voir ta sœur. Tu passes quelques minutes avec elle. Tu t’assures qu’elle va bien. Elle te dit que oui. Tu n’en es pas sûr. Tu n’as aucune confiance en ton beau-père, mais ce n’est peut-être pas lui la cause. Tu connais d’ailleurs le responsable, celui qui la rend maussade. Tu voulais être là pour elle, en permanence. Pas seulement quelques minutes de temps en temps, mais c’était malheureusement impossible. Ta mère n’arrivera sûrement jamais à trouver le courage de confronter ton beau-père. Elle avait trop peur de le contrarier et tu l’as comprenais, t’avais vécu avec eux pendant longtemps, tu savais comment ça tournait dans ces moments-là... À la simple pensée, un souvenir te revient à l’esprit. Le jour ou ta vie aurait pu changer du tout au tout. - petit flashback. ok, un gros. :
Ce jour-là, tu avais réussi à t’enfuir de chez toi. Tu savais pertinemment qu’à ton retour, ton père t’attendrait de pied ferme, mais tu ne t’en préoccupais pas plus qu’il ne le fallait. C’était comme si tu n’avais plus peur de rien lorsque tu étais dans la rue, toutefois, à l’inverse, c’était une tout autre histoire. Du haut de tes seize ans, t’avais toujours cette peur au ventre face à cet homme que ta mère avait épousé. Tu ne supportais plus de vivre avec lui, tu ne supportais plus ses coups que sa main t’affligeait quand ça l’enchantait. T’étais un être humain merde. Pas un punching-ball. C’est pourquoi chaque fois que tu en avais l’occasion tu quittais par la fenêtre de ta chambre, tu prenais le bus afin de te rendre dans le quartier qui devait être le moins fréquentable de la ville, mais c’était le seul endroit ou tu te sentais à ta place, dans ton élément. Ici, c’était chez toi. Tu traversais les rues une à une à pied, à présent. Tu posais les yeux vers une maison, puis, tu t’apprêtais à monter les quelques marches qui te séparaient de la porte d’entrée lorsque celle-ci s’ouvre d’un coup. Un homme en sortait, pousser par une personne. Il était tombé la tête la première. Tu posais son regard sur l’homme qui était à présent au sol. « Barre-toi et ne reviens plus chez moi! » Il se relèvait rapidement et partait tu le regardais filer, avant de reposer ton regard sur la personne qui venait de parler. Nahra un sourire apparaîssait sur son visage lorsqu’il t’aperçoit. « Xanthos! Viens donc. » Tu montais les marches rapidement pour le rejoindre. Il passait son bras sur tes épaules, t’emmenant à l’intérieur avec lui. « Regardez qui j’ai trouvé devant la porte. » Dit-il à ses collègues. . « Qu’est-ce que vous faites? » demandais-tu, en voyant les hommes s’armer. « On va régler une vieille histoire qui dur depuis trop longtemps. » Tu hochais la tête. « Je peux venir? » Le groupe rit. Tu les regardais, avant de te retourner vers Nahra. « Allez, s’il te plaît, si tu veux, je garderai le van, mais laisse-moi venir! » Tu le suppliais du regard. Tu voulais de l’action, tu voulais voir ce qu’il fessait. « Bon d’accord, tu conduiras le van. » Un grand sourire apparaissait sur ton visage. « T’es devenu fou ou quoi? C’est encore un gamin, on ne peut pas lui laisser une telle responsabilité! » [/i] Nahra lui jette un regard froid. « Quand je voudrais ton avis, j’te le dirais, ok? » Il avais compris bien vite qu’il devait se la fermer, s’il ne voulait pas énerver le chef. « Allez, on y va! » Ils se levaient tous, et tu les suivais, entrant dans le van. Pour l’allée, tu te retrouvais à l’arrière, avec les autres. Puis, lorsque le van se gare devant l’entrepôt, tu prends la place du conducteur. Tous les hommes se dirigeaient vers l’entrée, à part Nahra, qui s’arrêtait au niveau de la vitre. Il te donnait une arme. « Si tu as un problème, sers-toi-en et pars, on saura se débrouiller. » Tu hochais la tête, prenant l’arme et la posant à côté de toi. Il allait rejoindre les autres et ils entraient dans l’entrepôt. Tu attendais au volant et le temps te paraissait vraiment long. Tu trifouillais le poste radio du van, mais celui-ci ne marchait pas. Tu soupirais, tapotant les doigts sur le volant. Attendant un signal quelconque, n’importe quoi, toutefois rien. Tu commençais à t’impatienter. Tu baissais les yeux vers l’arme, et tu la prenais et sortais du véhicule. Ton geste était tout sauf réfléchi, mais tu sentais que tu devais le faire, pour Nahra. Il était tout pour toi, il avait été le père que tu n’avais jamais eu. S’il lui arrivait quelques choses, tu t’en voudrais sûrement pour le reste de ta vie, c’est pourquoi tu suivais le chemin que les autres avaient emprunté plusieurs minutes plus tôt. Tu te retrouvais dans un entrepôt. Des voix sourdes te parvenaient. Tu t’approchais te servant des cartons pour rester dans l’ombre. Tu apercevais deux hommes, l’un debout, tandis que l’autre à genoux. Tu te concentrais, tentant ainsi d’entendre leur discussion. « Tu croyais vraiment pouvoir venir sur mon territoire, tuer mes hommes, sans que je fasse rien? » À ces paroles, tu comprends rapidement qu’il fallait que tu fasses quelques choses. « Alors, tu comptes faire quoi? Me tuer? » Une minute de silence, qui paraissait être une éternité. « Allez, vas-y. Tire. » Les paroles de ton ami résonnaient dans ta tête, tu n'arrivais pas à comprendre celle-ci. « Avec Plaisir. » Pris de panique, tu sortais de ta cachette, t’étais seulement à une dizaine de pas de l’endroit où se positionnait Narha et le chef du camp ennemi, levant ton arme d’une main plus ou moins assurée. L’homme se préparait à tirer. Il te restait qu’une solution. Tu fermais les yeux l’espace de quelques secondes, puis tu appuyais sur la détente. Tu ouvrais les yeux à nouveau, regardant l’homme. Un fracas se fit entendre. C’était l’arme qui était tombée sur le sol. Il posait un regard sur toi. Visiblement, il n’avait pas prévu ça. Tu ne l’avais malheureusement pas visé au cœur, mais tu l’avais touché. Il posait son regard où la balle s’était logé dans l’épaule droit, sa main gauche se posait à cet endroit.. Maintenant, c’était toi le maître de sa destinée. S’il haussait faire la moindre tentative, c’est la mort qui l’attendait. Il se mit à rire. Tu ne comprenais pas. « Ferme là. » Tu voulais interroger ton ami du regard, mais celui-ci n’avait toujours pas bougé. « Un gamin, vraiment. Sérieux? Tu n’as rien trouvé de mieux? » T’n’avais pas envie d’en attendre plus, tu dirigeais cette fois ton arme plus haut et sans prévenir, tu tirais dans le vide, en guise d’avertissement. « T'es sourd ou quoi! La ferme, merde! » Cette fois, il semblait te prendre plus au sérieux, du moins, t’en avais l’impression. Tu t’approchais de ton ami, tout en gardant un œil sur l’ennemi. « Nahra? Ça va? T’n’as rien? » Il se retournait vers toi, avant de secouer la tête en guise de réponse. Tu laissais échapper un soupir de soulagement, toutefois, lorsque, tu te retrouvais près de lui, tu aperçu des blessures. Il avait la lèvre ouverte et des plaies faites au couteau sur le cou. Ton ami finit par se relever, en prenant l’arme qu’avait abandonnée l’homme quelques instants plus tôt, tu laissais alors tes bras retomber le long de ton corps. À présent, c’était Nahra qui allait prendre la relève. « Ce gamin, il est tout ce que tu n’as jamais eu et n'aura jamais. Une personne de confiance. » Avait-il prononcé, avant de lui mettre une balle en plein cœur. Cette soirée, c’était le jour ou t’avais trouvé une confiance en toi, une confiance suffisamment forte pour faire face à ton beau-père, mais ce soir-là, à ton retour, ça avait été aussi la dernière fois ou tu avais pointé le nez là-bas, c’était le soir ou il t’avait mis dehors, sauf que maintenant que t’es de retour, tu allais certainement pas resté là sans rien faire, à attendre un putain de miracle.
Un soir, il t’a surpris dans la chambre de ta sœur. Il est arrivé à l’improvise, tu ne t’y attendais pas. T'as pas eu le temps de rien faire, ne serais-se que de te lever, pour lui faire face. Tu ne faisais que quelques centimètre de moins que lui, mais il ne te faisait plus peur, à présent. Évidemment, ça ne lui a pas plus de te savoir sous son toit, il t’a gueulé dessus et sans que tu t’y attendes, tu reçois un coup-de-poing au visage. Tu poses ta main sur ta joue. Tu aurais tout de même pu le prédire. Il est violent, tu le sais, mais à présent, tu n’étais pas prêt de te laisser faire, encore moins par celui qui t'avait causé tant de crainte auparavant. Tu allais le confronter, tu allais lui faire subir tout ce qui t’avait affligé à toi et à ta mère. Si c’était le prix à payer pour revenir, c’était un bien piètre prix. Maintenant, c’était toi, le maître et lui l'esclave. “ If running has taught me anything in the past few years, it that no matter what obstacle comes your way, you have to work past it. No matter what you have to always work past it or you’ll be stuck there forever. ” Tu te prends la tête entre les mains. Tu peux pas retenir les larmes amères qui viennent s'écraser sur le sol entre tes pieds. C'est une putain de blague. Tu refaisais le film dans ta tête au ralenti. Ce mec en uniforme qui sonne à la porte. Ta mère qui s'effondre avant que t'aies eu le temps de piger. Betty qui s'affole. Il pige pas grand chose mais il saisit les émotions mieux que personne. Il est bouleversé. Papa est pas là. Et toi t'es apathique. Le mec te parle mais t'entends que dalle. Tu vois ses lèvres bouger mais ton cerveau percute pas. Mais t'es pas con. Tu sais pourquoi il est là, en uniforme: ton beau-père s'est fait descendre. T'as prié pour ça des milliers de fois mais là, ça te fait comme un coup de poing dans l'estomac. T'as le souffle coupé. Mais t'as pas le droit de flancher. Tu ramasses ta mère, tu la serres contre toi. Tu pleures pas. Tu parles pas. T'invites juste le mec à entrer d'un signe de tête. Tu calmes Betty de ton mieux avant qu'il se fasse du mal tout seul puis tu l'emmènes dans sa chambre, loin de toute cette merde. Et tu reviens t'écrouler dans le canapé, tu sers ta mère contre toi et t'écoutes, parce que tu peux faire que ça. Tu peux pas ouvrir la bouche. Tu peux pas pleurer. Tu peux pas réfléchir. Tu subis, clairement. T'écourtes le truc parce que t'as pas besoin de détail. Sachez que votre mari, Madame, est tombé en héros. Il doit toujours servir le même baratin à toutes les familles ayant un proche enrôler comme lieutenant dans l'armée. Qu'il aille se faire foutre avec ses conneries. On avait autre chose à foutre. T'es complètement stone, tu planes. Ton beau-père vient de crever et tout ce que tu trouves à faire c'est te défoncer comme un dingue. A chacun sa version du deuil. C'est ta façon de lui dire d'aller se faire foutre profond une dernière fois. Tu le haïssais. Pas autant que tu le croyais mais quand même assez pour ne pas pleurer longtemps sa mort. Il t'a pourri la vie. C'est pas une mince affaire pour quelqu'un qui était constamment absent. Il te dictait ta vie comme si t'étais un de ses soldats mais tu prenais un malin plaisir à lui faire comprendre que c'était pas le cas. Au début, ça allait entre vous. Vous aviez cette passion commune pour le football. Mais ça s'est gâté avec l'âge. Le foot suffisait plus, le fossé se creusait chaque fois un peu plus chaque jour. Vous en êtes venus aux mains plusieurs fois. Ta mère pleurait beaucoup mais elle pleurait déjà sans arrêt quand il était pas là. Ça mettait Betty dans tous ses états et papa en profitait pour se casser de la maison, tout bonnement. Il pigeait pas, il pigeait pas que t'étais comme lui, que t'étais fais pour mener et pas être dirigé. Ou alors il voulait pas l'admettre. Quel putain de mauvais perdant. Mais là il avait perdu la partie, pour de bon. Il était plus là pour te dire que tu devais être l'homme de la maison. Il était plus là pour critiquer tes habitudes. Il était plus là pour te dire comment jouer. Il était plus là pour t'aimer. Merde. Est-ce qu'il t'aimait au moins ? Tu savais pas, il avait jamais été foutu de te le dire. Le petit merdeux que t'étais, c'était à lui que tu le devais, quoique t'en dises, dans le bon comme dans le mauvais. Mais tu lui en voulais, tu lui en voulais putain de vous laisser en rade comme ça. Ta mère arriverait jamais à vous faire vivre tous les trois. Elle allait sombrer, elle était pas assez forte. Vous étiez dans la merde, clairement. Et t'avais que 17 ans, putain. 17 putains d'années longues comme des siècles et c'était à toi de tenir ta famille à bout de bras. C'était pas ton rôle, ça aurait jamais dû l'être. Mais t'avais pas le choix. Tu t'es mis à dealer pour combler les manques. T'en avais marre de tout ça, marre de cette vie, tu voulais plus, tu aspirais à plus. T'es persuadé d'être né pour être quelqu'un, pour être au sommet mais pas pour raquer comme un chien. Tu méritais mieux et t'allais obtenir mieux. Ca pouvait pas être autrement. On a l'avenir qu'on se crée et toi t'allais le créer en or massif. “ She took everything, I gave her most things and she snorted more things. Now she calls me crying and wants me to forgive, but she never said sorry for destroying me. I can’t forgive her, again. She lies, cries and I still love her. She has all the broken pieces of me. ” Tu as croisé ta meilleure amie dans un bar, y'a de ça quelques semaines. Tu avais trop bu ce soir-là et t'avais évidement été trop loin. Ça t'avait valu d’attirée l'attention de la majorité des gens de la boite, dont, celui que tu redoutais sûrement le plus, le regard froid de celle qui avait été pour toi ta plus longue amitié. « Arrête ! » Hurla-t-elle en s’interposant dans la bagarre. Elle te repoussa à l’extérieur du bâtiment du mieux qu’elle le pouvait et t'éloigna du brouahah que t'avais toi-même créer. Les cheveux attacher en natte, vêtu seulement d’une robe, elle observa le coquard qui se formait sur ton œil droit. « C’est pas vrai, tu vas me dire ce que ce mec t’as fait ? » demanda-t-elle. T’était pas un gars méchant mais dès que tu avais de l’alcool dans le sang, la moindre petit réflexion lte faisait partir au quart de tour. « Rien, un petit con parmi tant d’autre qui devrait rester à sa place, plutôt d’ouvrir sa gueule pour rien dire. » expliques-tu tout en massant tes tempes. Elle t'as certes évité de finir une énième fois en taule. Mais ton état te permettait pas de vivre faire à ce que allait venir ensuite. « Merci.» lui dis-tu avant de s'éloigner d'elle. Tu voulais à tout pris éviter de parler de ce qui c'était passer deux ans auparavant, toi-même, t'avais pas la moindre idée de ce qui t'avais pris de la quitter sans le moindre mot et tu savais que tu étais en tord. Elle te retient. « Xanthos... T'étais ou pendant c'est deux ans? » D'un geste vif, tu brisas son emprise sur ton bras. Puis, sans même te retournée. « En Egypte. » C'est tout ce que tu lui offrais comme réponse Pour l'instant. Elle savait très bien qu'il ne fallait pas te forcer la main, que ça devait venir de toi-même. Tu l'as ensuite revu sur son lieu de travail. Tu cherchais toi-même du boulot. Tu as décroché un poste. On travaille ensemble et depuis elle ne cesse de te faire la morale sur ton attitude avec les clientes . Elle t'avoues en être jalouse. Tu t'es servi de ç pour coucher avec elle. Tu t'en veux. Tu as essayé de lui parler mais elle t'a envoyé sur les roses avec une claque en pleine gueule, réaction normale. La suite au prochain épisode. “ She took everything, I gave her most things and she snorted more things. Now she calls me crying and wants me to forgive, but she never said sorry for destroying me. I can’t forgive her, again. She lies, cries and I still love her. She has all the broken pieces of me. ” C'est ça ta vie, y'en a qui dirait que t'es rien qu'un pauvre débauché, d'autre qui rêverait d'lacher leur costard et d'finir comme toi. Toi? tu t'en fous, t'es dans ton monde et t'as pas forcément l'impression de ruiner ta vie. Ton beau-père était un putain de connard qui vous frappez toi et ta mère, ta mère elle a jamais eu l'courage de te prendre par la main et d'partir, elle a jamais eu l'courage de t'aimer non plus, t'as jamais compris pourquoi en tous cas t'sais qu'elle a toujours espéré qu'il s'arrête alors toi t'as finis par te demander si c'était de ta faute toutes cette violent, t'as jamais eu de réponse. Alors à coté d'eux t’estimes t'en sortir pas trop mal. Un job, des études, un toit ou dormir, des amis, et de quoi s'amuser, c'est ça, ta vie
Et c’est ainsi, que le livre se referme comme il s’est ouvert. Le jeune homme du livre n’existe pas vraiment. il est dans sa bulle, essayant de fuir loin de ses problèmes, loin de son passé qui le détruit au fur et à mesure qu’il murît. Et il n’attend que l’homme ou la femme qui lui dira que tout ira bien, pour enfin être heureux… »
Dernière édition par Xánthos-Nael E. Byrd le Lun 3 Aoû - 19:24, édité 2 fois |
| | | Lux Ó CearnaighFONDATRICE - NOTRE MÈRE A TOUSJe suis à Chicago depuis le : 03/06/2011 et j'ai déjà rédigé : 3705 messages. J'ai : 24 ans d'après mes amis. Dans la vie, je suis : doctorante (troisième année) en ingénierie, spécialisée en robotique
| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:20 | |
| J'adore ton pseudo, god. Il me donne envie d'un lien. J'attends d'avoir quelques infos sur ton personnage et je te mpotte Bienvenue parmi nous en tout cas et bon courage pour ta fiche ! Concernant l'avatar, je vote pour Diego |
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| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:21 | |
| Perso, j'adore Diego Barrueco, il est même en suggestion pour mon scéna' je connaissais ps l'autre, mais je dois dire qu'il est tout aussi bogoss' choix difficile Bonne chance, et je veux un petit lien avec ton futur mâle |
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| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:24 | |
| DIEGO |
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| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:25 | |
| Perso, je voterai daniel (que j'ai mis en suggestion d'un des liens recherchés ici) car je suis dingue de ce mannequin, mon crush number one mais j'aime énormément diego aussi donc c'est à celui qui te mettra le plus à l'aise, celui que tu veux vraiment jouer. Même Diego correspondrait au rebelle dans mes liens recherchés, si ça t'intéresse. :mdl: En tout cas, bienvenue sur le forum, hâte de voir ce que tu vas nous faire et bonne chance pour ta fiche. |
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| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:27 | |
| tu rends pas les choses faciles avec ces deux merveilleux choix, mais petite préférence pour diego bienvenue ici |
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| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:27 | |
| bienvenuuuue sacré commencement de fiche pour ma part je les trouve tout les deux ultra de chez ultra sexy donc si un passage dans mon lit à venir ou passé t'intéresse mdrrr ! sinon je trouve Diego plus craquant que l'autre ! |
| | | Sahel A. FriezmannADMIN - MASCOTTE ΔΥJe suis à Chicago depuis le : 02/08/2015 et j'ai déjà rédigé : 3689 messages. J'ai : vingt quatre ans d'après mes amis. Dans la vie, je suis : étudiant, en 1ere année graduate ~ cinéma & médias
| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:37 | |
| bienvenue parmi nous alors pour le choix à faire, je dirais daniel mais tout dépend ton personnage en fait je marche au caractère pour trouver un vava pour ma part |
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| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:43 | |
| lux, parlant d'info supplémentaire, en voilà. son histoire est postée. le reste ne devrait pas tarder pour le coup. :please: Lux est pas mal aussi comme prénom et puis palmer, si belle et pourtant sa cote rpgiste diminue, j'ai l'impression. :mexicos: un vrai déshonneur. en tout cas merci. ricci La belle giza. TRÈS bonne choix. Suggestion, scénario. J'irais peut-être jeter un oeil, tiens. Peut-être que l'idée que je me faisais de Xanthos pourrait coller, ou pas. Pour le lien, je note, je te motterais, si tu t'aventures pas dans ma boîte avant. riley merci et je note ton vote. maxence c'est d'ailleurs ta recherche qui m'a refait pensé à mon Daniel. en plus, je pense que mon rebelle, pourrait bien faire l'affaire, si ça t'intéresse et, c'est très tentant vu que tu'as Jack en vava. le seul acteur que j'oserais peut-être se jouer. stana ah, c'est vrai ? je n'étais pas au courant. olivia faut bien débuter quelque part nah une invitation dans ton lit. faut voir. sahel c'est un petit rebelle, en fait, avec une histoire un peu sordide par moments. du coup. et ma copine de pseudo. tsé, celle qui a fait un jeu de mot avec le mot éphémère. ben, c'est moi. donc, a priori, diego est largement en tête.
Dernière édition par Xánthos-Nael E. Byrd le Lun 3 Aoû - 19:45, édité 1 fois |
| | | Sahel A. FriezmannADMIN - MASCOTTE ΔΥJe suis à Chicago depuis le : 02/08/2015 et j'ai déjà rédigé : 3689 messages. J'ai : vingt quatre ans d'après mes amis. Dans la vie, je suis : étudiant, en 1ere année graduate ~ cinéma & médias
| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:44 | |
| Donc je change d'avis, part sur Diego ! |
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| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:45 | |
| Je t'ai déjà mpotté |
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| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 19:46 | |
| Le cinglé avec Diego, ce serait bien cool. Et merci du compliment. Je tente Jack pour la première fois, j'admets être encore étonné de le jouer. :mdl: Si tu veux, on se mpotte pour plus d'informations, je suis à ta disposition. (du moins là par contre, avec daniel, ce sera bisou bisou sexy ). |
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| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 20:00 | |
| sahel, je note ça. ricci, je te réponds une fois de retour du boulot. là, toute suite, je dois me préparer pour y aller, alors. je m'occuperais de lire ta fiche en même temps. peut-être que je m'occuperais de ça, entre deux clients, si le temps me le permet, tiens. maxence le cinglé, je n'avais pas lu jusque là , mais, c'est vrai que ça pourrait aussi lui aller. Après, y a juste le fait que je comptais faire de Xanthe bi, du coup. Étonné, ah ? Tu n'as pas l'habitude de prendre des acteurs aussi ? ou c'est juste pas ton genre en général :mdl: en tout cas, jack est parfait. À ma disposition, le soit pas trop non plus. je pourrais perdre tout intérêt. tout comme Ricci, je te réponds à mon retour. Je te ferais peut-être un résumé, d'ici là. ( méchant, faut pas me tenter. )
Dernière édition par Xánthos-Nael E. Byrd le Lun 3 Aoû - 20:10, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. Lun 3 Aoû - 20:07 | |
| Oh, dommage car ils sont censés être des frères. Disons que je préfère jouer soit des têtes connues que j'adore mais en faire des personnages qui sortent des sentiers battus, soit mes bébés mannequins. je finis souvent avec des acteurs pour des questions de ressources de gifs car je suis un malade des gifs. Enfin, j'étais avant mon break rpg. Je vais te maltraiter, wesh, tu vas voir. quoique tu décides, j'aime ta personnalité et du début de ta fiche que j'ai lu, j'adore ta manière d'écrire donc je voudrai un lien. fais donc, morveuse. |
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| Sujet: Re: Xánthos ✤ une main de fer dans un gant de velours. | |
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