| Sujet: Petite fraîcheur, t'es p't'être mannequin. Mais t'es loin d'être une fille modèle (Miguel) Dim 9 Aoû - 18:32 | |
| Miguel Javier Wilson Stephen JamesNé le 16 septembre 1992 à Bogota, en Colombie, j'ai 23 ans et suis de nationalité colombienne avec des origines australienne. Si vous voulez en savoir un peu plus sur moi, sachez que je suis plutôt riche et que je le vis bizarrement ! Actuellement célibataire et coureur de jupons, je tiens à préciser que je suis plutôt du genre bi... Désolé d'avance pour les cœurs brisés. Diplôme préparé : master en relations internationalesCycle & année d'étude : cinquième annéeCursus majeur : langues internationalesSpécialisation : langue étrangères appliquéesCursus mineur : sport | |
Personnalité & addictions Drôle - 60% Réfléchi - 50% Créatif - 40% Travailleur - 75% Fêtard - 100% Narcissique - 90% | Artiste - 35% Amical - 30% Jaloux - 80% Méfiant - 80% Sportif - 100% Prude - 50% | Généreux - 60% Têtu - 85% Hautain - 50% Séducteur -100% Honnête - 90% Joueur - 100% |
Alcool : 100% | Drogues : 90% | Sexe : 100% |
Renseignements multiples Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? Tout simplement car je n'avais pas le choix. C'était celle-là ou rien du tout. Alors j'ai accepté de venir ici, j'ai accepté tout un tas de chose pour faire plaisir à mon père. Lui qui disait "ta mère voulait que tu ailles ici, rends lui hommage", alors rien qu'en disant ces quelques mots, j'ai de suite accepté, je l'aimais beaucoup ma mère même si je ne lui ai jamais dis, alors c'est la moindre des choses que je peux fournir. Je ne regrette plus mon choix, ça fait à présent cinq ans (à la rentrée) que je suis ici et tout va pour le mieux. Quelles sont vos sources de financement universitaire ? Mon père et l'héritage de ma mère, au vu de mes grands-parents décédés également qui était millionnaire et ma mère étant fille unique, tout nous est revenus à mon père et à mes frères et soeurs. Mon père était un trafiquant de drogue et de substances, et a toujours bien gagné sa vie. Il n'a jamais été arrêté par la police ou quoi que ce soit. En Colombie, c'est fréquent ce genre de trafic. Ma mère était gérante et créatrice dans une boutique de luxe. Alors l'argent on a avait, on en a toujours eu. Cela fait cinq ans, depuis mon entrée à l'université qu'on habite à Chicago, et là c'est pareil, l'argent ça va ça vient. Mon père est à présent directeur dans une bonne entreprise et a arrêté le trafic. Que pensez-vous du système de confrérie ? Je trouve ça cool, ça fait un moment que j'y suis, et malgré ce qu'on peut dire dessus, c'est un bon moyen niveau intégration. Je sais que dès que j'ai mis le pied chez les Sigma Chi, j'ai de suite été intégré, comme si tout les membres, on se connaissaient depuis un bail. Cela regroupe tout genre de personnes, certaines confrérie sont mixtes d'autres avec que des paires de seins et des pénis. Malgré nos différences avec les autres confréries, on peut quand même bien s'entendre, il n'y a pas de barrière. D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Cela fait cinq ans, cinq ans que je suis installé ici, chez les Sigma Chi, la confrérie 100% masculines. Elle m'a de suite fait tilt, je me suis dit que c'était la bonne, je me voyais ici et non ailleurs, elle me correspondait tellement. Comme je dis, les potes avant les putes, et je n'ai pas changé, j'ai toujours été là pour les mecs, les filles ça passe après. C'est juste un coup d'un soir, j'en ai eu, alors que les mecs, eux, seront là pour l'éternité. On ne s'entend pas toujours tous très bien, mais la majorité fait que oui, qu'on est tous des frères. Je fais également beaucoup de sport et particulièrement de la boxe à haut niveau et du football : comme la majorité de mes frères. Les Sigma Chi se sont des hommes, des hommes séducteur, qui ont un bon carnet de chasse, et je fais partir d'eux, je suis comme eux. J'ai toujours préféré les relations courtes et rapides car je suis coureur de jupons, une ne me suffit pas il m'en faut bien plus. Mais je n'en abuse pas non plus, étant bi, je peux me réconcilier chez mes frères. Au vu de mes cursus en langue et en sport, je me suis bien trouvé une place au sein des meilleurs, de mes frères, les Sigma Chi. Et dès qu'on rentre dans une confrérie, il y a le bizutage, ce truc qui t'es donné dès que t’arrive afin d’intégrer la confrérie, ces défis fous, à réaliser en temps et en heure. Pour ma part, j'étais fier, de part mon bizuteur et surtout les défis dont j'ai réussi. Qu'ils soient dur au point que pas mal de gens ne réussissent, moi j'aurai tout fait pour les accomplir, tout simplement pour intégrer la confrérie de mes rêves. Du genre à aller draguer une personne de deux fois ton âge et qui, bien sûr te déplais forcément. J'ai accepté sans riposter et je l'ai réussis. Après y'a du genre à te trimballer à poil de couloir en couloir avec une pancarte au nom de ta confrérie et de crier haut et fort que t'es fier d'y être. De taguer les murs avec le nom de celle-ci, aussi. Biographie Tout a commencé quand je suis né, le seize septembre mille neuf cent quatre-vingt douze. J'avais mon père qui était fort alcoolique et qui consommait des substances de part car il était dealer, et ma mère qui avalait tout. Elle n'a jamais voulu d'enfants mais à l'époque, sous l'emprise de l'alcool, ils ont fait ça trop vite et voilà .. me voilà, enfin nous voilà, moi et ma sœur jumelle ! Pourquoi ils ont fait ça ? étant donné qu'ils avaient déjà un fils, notre ainé. Mais, ils ne se sont pas arrêté là, ils ont fait un autre gosse après nous deux, une autre petite sœur, d'un an et demi de moins que nous. Mes parents gagnaient bien leur vie, mais c'est pas une raison d'avoir cinquante gosses, je n'ai jamais rien compris à quoi ça servait. On s'entendait tous bien, on avait peu d'écart d'âge et tout aller pour le mieux pour tout le monde. On réussissait partout, que ce soit dans l'école, ou même dans des compétitions sportives, car on faisait souvent du sport, trop souvent pour ma mère qui est décédée quand j'avais huit ans, d'une crise cardiaque à cause du sport. Depuis ce jour, tout a changé, je n'étais plus comme avant, je ressentais un manque en moi, je l'aimais beaucoup ma mère quoique je ne lui aie jamais avoué mes sentiments, mais maintenant je le regrette, je me sens con, débile, sensible. Je faisais tout foiré, je séchais les cours, je n'étudiais plus, j'avais arrêté le sport et m'étais juré de ne plus jamais en refaire. Avec mes frères et sœurs, ça se dégénérait, on commençait à moins se parler, à moins se voir, je préférais être isolé, seul. J'avais seize et je commençais à me faire des tatouages, de plus en plus nombreux et de plus en plus voyants. Cela n'a jamais plu à mes proches, ils trouvent ça moches, que ça ne sert à rien et surtout avec la richesse qu'on avait, ils trouvaient ça débile de mettre l'argent dans des tatouages, qui resteront gravés à vie. Mais je m'en foutais, le mal était fait de toute manière. Certains ont une signification, d’autres non. Et puis à mes dix-huit ans, nous sommes partis de Colombie, notre pays d'origine et on s'est installés à Chicago, mon père ainsi que mes proches et surtout mon grand frère me rabâcher de venir étudier à l’université, celle de Chicago, la meilleure d'après eux. Au départ je n'en avais pas envie, et puis j'ai accepté car ma mère aurait voulu que je fasse des études, et ce dans une bonne université et pour lui rendre hommage j'y suis allé. J'ai donc commencé à dix-huit ans en langue internationales avec spécialisation langues étrangères appliquées, tout ça en majeur et j'ai pris mineur en sport, ça peut paraître dingue, mais y a beaucoup de sportifs qui ne meurent pas à cause de cela, alors pourquoi moi également ? J'ai repris la boxe à hauts niveaux ainsi que le football. Et puis j'ai intégré une confrérie, celle qui me ressemble, les Sigma Chi, tous unis comme des frères. J'attaque ma cinquième année à la rentrée et je prépare un master. Vous m’auriez dit ça dix ans en arrière, j'aurai rigolé. Maintenant j'en suis fier. J'ai eu beaucoup de relations et notamment sexuelles, le temps d'une soirée et bim un coup de rein, contrairement aux relations amoureuses où j'en ai eu très peu, être solitaire me correspondait plus. J'suis du genre à avoir un bon tableau de chasse, mais niveau amitié ce n'est pas trop ça, j'en ai, certes mais il se passe quelque chose, un quelque chose qui fait que j'ai peur qu'il me trahisse. Si on me trahit, c'est simple, je ne pardonne pas, j'suis un bad boy, un bad boy par excellente. Je ne pleure pas, les larmes ne coulent pas de toute manière, je ne suis pas une tapette, faire mal aux autres ne me dérange pas, mais pas à mes frères, non ça jamais. Il y a une phrase qui me correspond bien, celle-ci : "toujours plus loin, plus fort, plus vite. Jusqu'au bout de l'extrême limite" tout est dit, me semble-t-il. | Moi c'est nohemy !J'ai 15 ans, je suis une fille et je vis en France, dans le sud, avec les cigales. J'ai découvert le forum grâce à un top-site et je le trouve magnifique, sexy et tout ce qui va avec ! Sinon, je serai connectée à peu près tout les jours et je devrai pourvoir RP environ deux fois par semaine, tout dépendra.. |
Dernière édition par Miguel J. Wilson le Dim 16 Aoû - 15:50, édité 7 fois |
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Lux Ó CearnaighFONDATRICE - NOTRE MÈRE A TOUSJe suis à Chicago depuis le : 03/06/2011 et j'ai déjà rédigé : 3705 messages. J'ai : 24 ans d'après mes amis. Dans la vie, je suis : doctorante (troisième année) en ingénierie, spécialisée en robotique
| Sujet: Re: Petite fraîcheur, t'es p't'être mannequin. Mais t'es loin d'être une fille modèle (Miguel) Dim 9 Aoû - 18:36 | |
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