Iwan • Redbull donne pas des ailes seulement la stupidité

Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? Je suis tout d'abord très fier d'étudier aux États-Unis. Selon moi, les États-Unis est le pays où il faut étudier notamment pour sa qualité éducative et sa réputation internationale. Le Royaume-Uni ne se défend pas mal particulièrement avec ses universités tels Oxford, Cambridge et Imperial College of London mais, moi mon rêve depuis tout petit a toujours été de faire mes études supérieures dans une grande université américaine, car étudier dans une bonne université américaine garantit une certaine gloire et une grande avancée vers un bon avenir professionnelle. À l'avenir, je souhaite devenir un grand médecin dans le domaine de la médecine physique réadaptation pour ainsi faire du bien à des milliers de  personnes dans ce pays. Alors, rien que pour ça, des études aux États-Unis me gratifient de certaines facilitées pour mon avenir professionnel.
Pourquoi l'université de Chicago et pas une autre ? Bien parce que mon grand-frère et ma sœur jumelle m'ont dit que du bien de cette université bien avant leurs inscriptions d'ailleurs. Cependant, malgré leurs longs discours sur Chicago, Chicago n'a pas été mon premier choix. Mon premier choix était Columbia à New-York. Oui, je m'imaginais bien arpenter les rues de la grosse pomme pour devenir un citadin vivant dans un rythme de vie extrême. A l'origine, je suis un garçon calme qui a besoin d'être booster de temps en temps par les environs. Mais, ne soyez pas triste pour moi le recalé de Columbia. J'aime beaucoup l'ambiance de l'université de Chicago et celle de sa ville. Il y a pleins de choses à faire à Chicago. De plus, je remarque qu'à Chicago, je rencontre des gens formidables que je n'aurais peut-être pas rencontré à New-York. L'avantage est certainement dû au fait que la ville est plus petite.
Quelles sont vos sources de financement universitaire ?  
Je suis un enfant Pietrowski. Ma famille est aussi riche que célèbre donc c'est normal que je jouisse de l'argent de papa et maman pour m'assurer un bon avenir. Des gens diraient que je suis un de ces pourries gâtées bénie par la fortune de ses parents!  C'est normal, pour être étudiant dans cette prestigieuse université, j'ai dû OBLIGATOIREMENT passer par le portefeuille de papa. Je n'ai pas honte de mon statut de gosse de riche puisque je suis parfaitement conscient de ma chance. C'est de cette façon que j'arbore fièrement ma richesse. Cependant, ne croyez pas que je suis un enfant de riche qui ne fout rien à l'école. Rappelez-vous que je suis étudiant en médecine et que ce n'est pas facile tous les jours. Dans ce cas, je joue au riche vaniteux qui fait le maximum pour que mes parents soient satisfaits de moi. Après coup, je me réjouirai de mon grand effort dans ma villa toute neuve que papa ira m'acheter à la fin de mes études.

Que pensez-vous du système de confrérie ?  
Je suis totalement pour le système de confrérie dans le sens qu'on est mieux plusieurs que seul dans un endroit aussi gigantesque qu'une université. C'est quelque chose de puissant de faire partie d'un clan. C'est uniquement pour cette raison que j'aime le système de confrérie. Être dans un groupe et ne pas me prendre la tête à me sentir seul. Pour autant, je veux bien croire que des gens n'aiment pas les confréries à cause des histoires de bizutage. Ces histoires qualifient toutes les confréries « d'armées de sauvages ». C'est tout à fait normal de les voir ainsi. En effet, je suis l'un des premiers à dire que le bizutage n'est pas une étape agréable. J'aimerais bien moi aussi qu'il n'y est pas un mauvais début à tout. Mais, bon il faut prendre parfois les choses comme elles sont. Pour avancer,  il faut se donner du courage pour affronter le pire pour que notre futur soit satisfaisant. Donc, oui je ne suis pas contre les confréries même si leur système est loin d'être sans aucun défaut. Et puis de toute façon, rien n'est parfait dans cette société et pourtant la plupart d'entre nous survivons.


D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? Comme je vous l'ai déjà dit dans ma réponse à votre première question, je rêve depuis tout petit d'être inscris dans une université américaine. Enfant, je désirais déjà goûter aux occasions que je pourrais avoir en entrant dans une université américaine. Faire partie d'une confrérie était la deuxième chose que je désirais après le prestige d 'une grande université. En conséquence de quoi, je me suis tout de suite porter volontaire pour être un futur membre de l'une des confréries de mon université dès les premiers jours. Sans beaucoup réfléchir, j'ai choisi d'être un futur Phi Delta Thêta, la confrérie regroupant les gosses de riches de l'université. Ouais, elle regroupe des gens comme moi dans cette confrérie. C'est certainement pour cette raison que j'ai choisie celle-ci et pas une autre. Effectivement, j'avais un peu peur de ne pas être à l'aise au sein d'une autre confrérie. Ce n'est pas la faute que les autres membres des confréries et de leur erreur de ne pas être du même milieu que le mien.. C'est purement parce que je ne me voyais pas chez les fanas de sports ni chez les bourreaux de travail (et encore moins dans les autres groupes). Cela peut vous paraître triste mais, il n'y a que ma cuillère en argent avec laquelle je suis née qui m'impressionne de moi-même. Je vous avoue que je me sens toujours comme une fourmi si on m'enlève le fait que je puisse avoir une belle voiture. C'est parce que je pense n'avoir rien d'autre à part ça. C'est comme cela et je le vis de cette manière. On ne peut pas tout avoir dans la vie.  

Cela fait maintenant six ans que je suis un Phi Delta Thêta. J'en suis fier d'être un car j'ai dû passer une atroce période de bizutage avant d'être un membre de cette confrérie. C'était bien extrêmement dur de se sentir comme un esclave. J'avais l'impression que personne n'appréciait le fait que je sois un être humain comme tout le monde. On me demandait la plupart du temps des choses que je ne voulais pas faire et que je détestais faire. Genre laver les chaussettes sales des autres alors que tout le monde savait bien dans cette confrérie que pour un gosse de riche, c'est le comble ! Malheureusement, j'ai vécu pire que cela en tant qu'esclave. On m'a un jour demander de faire un strip-tease devant tout un parterre d'inconnus . Beaucoup de mes soi-disant frères savaient que j'étais pudique. Malgré ces durs épreuves, j'ai passé quelques bons en tant que bizut. Devinez lesquels ! C'est bien sûr les moments de soulagement que j'ai vécu lorsque je terminai une épreuve assez difficile. Je peux vous citer comme exemple cet instant où je me suis reposé sur mon lit après avoir bu les pires cochonneries fraîches de mon existence. Il y a aussi ces nombreux moments où votre nouvel ami, un autre bizut, vous montre d'un simple geste que vous n'êtes pas le seul à affronter l'horreur. C'est dans ces moments- là que je me disais qu'il y a toujours une période blanche et une autre noire. Et puis, voilà ! C'est en effet en parlant comme ça que j'encourage les nouveaux bizuts à dépasser leurs limites. Il faut bien que je témoigne de mon expérience pour pousser les nouveaux dans la confrérie. Sinon, je me sentirais ne servir à rien dans ce monde de brutes.

C'est ici qu'il vous faut nous raconter votre histoire (tout en pensant à y raconter vos premières années à l'université/dans votre confrérie si vous n'êtes pas un petit nouveau, ceci devant être fait une fois que le Doyen ou le président aura validé votre admission dans une confrérie). Un minimum de 30 lignes est demandé ; soignez votre écrit, relisez-vous, soyez réalistes et tout ira bien !