C. Jay Harper
All eyes on the gun, one finger on the trigger
Nom complet ➜ Calvin Jason Harper
Âge ➜ 21 ans
Date et lieu de naissance ➜ 10 Juin 1995, Brooklyn (NY)
Nationalité ➜ Américain
Origines ➜ Américaines
Situation financière ➜ Pauvre
Etat civil ➜ Célibataire
Préférences sexuelles ➜ Hétérosexuel
Activité professionnelle ➜ Mécanicien/dealer/homme à tout faire tant que ça paie
Études ➜ L'école de la vie, c'est plus que suffisant.
Impétueux - Introverti - Colérique - Dragueur - Insouciant - Blagueur - Réfléchi - Manipulateur - Réaliste - Confiant - Rancunier - Impulsif - Débrouillard - Persévérant - Violent - Sens pratique - Indépendant - Bonne mémoire - Hédoniste - Patient - Susceptible - Distrait - Ordonné - Vaniteux
My little secrets01. Tout le monde m'appelle CJ ou Jay. Pas de Calvin . Pas de Jason.
02. J'emmerde les mecs qui se disent diplômés dans telle ou telle filière. Pas besoin d'avoir fait des études pour baiser.
03. L'argent facile c'est mon tuc. Je n'ai pas besoin de vivre dans un palace et boire du champagne au petit déjeuner pour vivre pleinement ma vie
04. L'amour ? Non merci. Je m'arrête au sexe et c'est très bien comme ça. L'amour, ça cause des complications.
05. Rien ne m'arrête, un défi ? Pas de problème. Je le ferais si la récompense en vaut la chandelle.
06. On ne peut pas dire que je suis quelqu'un de volubile. Je suis plutôt du genre calme, silencieux. Je parle peux, mais j'observe beaucoup.
07. Un peu de douceur dans ma personne brutale. Je joue à Pokémon et j'assume entièrement.
08. Et non, je ne suis pas si con que ça. Je sais lire. Et je lis beaucoup, ça m'occupe.
The story of my life
Dans la vie il y a deux types de personnes : celles qui baisent et celles qui se font baiser. Moi, je fais partie de la première catégorie, c’est moi qui baise. Et de mon point de vue, je crois que je le fais plutôt bien puisque les nanas que j’ai baisées s’accroche à moi comme une moule s’accroche à un rocher. Je sais, charmant comme métaphores. Enfin bref !
Je suis né le 10 Juin 1995 dans le pitoyable hôpital du neuvième district de Brooklyn, à New York. Ma mère, une respectable secrétaire médicale, mon père, un misérable éboueur et moi-même, vivions dans un ridicule et insalubre appartement du quartier. J’y ait vécu pratiquement toute ma vie. Enfin je veux dire, avant de déménager pour Chicago. J’y ait grandit tant bien que mal. Pour ma mère, j’étais et je suis toujours l’amour de sa vie. Jamais elle ne me verra comme le connard que je suis. Je serais éternellement son petit Calvin chéri. Je l’aime pour ça. Quant à mon père, je le détestais. Après tout, j’étais inexistant pour lui et s’appliquait bien à me le faire ressentir. Je dois bien avouer que le jour où je l’ai retrouvé mort dans la benne de l’immeuble, ça m’a fait un peu plaisir. Ma mère était bien évidemment effondrée. La pauvre.
Dès lors, n’ayant vraiment plus de père, je me mis à traîner. Et comme dit Joey Starr dans ses années brillantes : « Ne laisse pas traîner ton fils ». Ma mère ne savait pas, je sautais par la fenêtre. J’ai très vite fait la connaissance de mes meilleures amies : Alcool, drogue et plus tard avec cette pute d’Eléna, Sexe. Nous vivons actuellement une vie de plaisirs sans restriction aucune. Et c’est plutôt pas mal.
J’ai fait de nombreuses conneries. Des conneries qui m’ont envoyé au commissariat et dès que j’en ai eu l’âge, la prison. J’y ai passé près de cinq années si on met toutes mes peines bout à bout. Ce fût une très bonne école pour moi. J’ai appris à être fort, psychologiquement et physiquement.
Vous savez, à un moment, on finit toujours par se dire qu’il est temps qu’on se prenne en main. Généralement, on se dit ça quand on approche de trentaine et ce fût exactement ça.
Je n’étais plus en bon terme avec le cartel de New York. Je n’avais personne hormis ma mère, mais elle ne risquait rien. Je n’avais pas la moindre envie de me trouver un job dans la grande pomme. Alors, j’ai pris un sac à dos, mes pauvres affaires et je suis parti.
J’ai fini par atterrir dans cette ville. J’ai pris un job de mécano. Pourquoi ? Parce que je suis doué avec les bagnoles et que je sais les réparer. Dans tous les cas, si vous cherchez à vous défoncer dans une ville, je vous conseille d’aller voir le mécano du coin. Parce que vous savez quoi ? Les voitures des gangs, il faut bien qu’elles se fassent réparer par quelqu’un. Et je dois dire que je suis devenu le quelqu’un de toute la ville. Jamais ne je risque de subir du chômage.
Je suis vite devenu une personnalité incontournable. Je suis le seul mec capable de travailler pour tous les gangs sans en pâtir. Je crois qu’ils m’aiment bien. Je peux vendre pour Marty aujourd’hui et tuer pour Venislas le lendemain. Jamais on ne m’en voudra de travailler pour la rivalité. Ils m’apprécient justement parce que je fais les jobs qu’ils ne veulent pas faire sans jamais poser de questions et sans les balancer. Je fais mon job, je suis payé, je ferme ma gueule. Je suis un peu l’homme à tout faire. D’autant plus qu’une règle a été établie : On ne touche pas CJ. Cool. Je peux faire ce que je veux, sans me prendre de balle.
Voilà. C’est ma vie du moment. Sans attache. Je vis bien. Pas dans le luxe, mais je m’en fiche. Ce que je possède actuellement me suffit largement. J’ai Pokémon, mes livres, mes machines, mes flingues et ma piaule. Plus qu’il n’en faut pour vivre, non ?
Pseudo ➜ Zhedd
Âge ➜ 125 ans.
Pays ➜ France
Fréquence de connexion ➜ 7/7
Découverte du forum ➜ Par l'opération du saint esprit
Avis ➜ J'aime, je vous aime, je m'aime aussi.
Autres ➜ écrire ici.
Ed Skrein - inventé