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 M.H 2.0

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Mycroft Hoffman


Mycroft Hoffman
PRESIDENT ΣΧ
Je suis à Chicago depuis le : 23/01/2016 et j'ai déjà rédigé : 698 messages. J'ai : 26 ans d'après mes amis. Dans la vie, je suis : 4th YG - Biotech.

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MessageSujet: M.H 2.0   M.H 2.0 EmptyMar 2 Fév - 21:19

Mycroft Hoffman

I just love love ♥️


Nom complet ➜ Mycroft Hoffman Âge ➜ 25 ans Date et lieu de naissance ➜ 25 Juin 1990 - Pittsburgh Nationalité ➜ Américain Origines ➜ Américaines Situation financière ➜ Relativement pauvreÉtat civil ➜ CélibatairePréférences sexuelles ➜ Hétérosexuel
Cycle et année d'étude ➜ Graduate, 4ème année Diplôme préparé ➜ Doctorat Biotechnologie Cursus majeur ➜ Biochimie Cursus mineur ➜ Robotique

Amical - Irréfléchi - Fêtard - Joueur - Séducteur - Sérieux - Travailleur - Honnête - Romantique - Protecteur -

My university life
ConfrérieSigma Chi. Années ➜ 4

La confrérie, ma seconde famille. Je sais que je détonne pas mal dans cet univers et pourtant, je m’y sens à l’aise. J’ai intégré les Sigma Chi lors de ma seconde année undergraduate car j’avais estimé que le désastre social que j’avais subi en première année avait été largement suffisant pour le reste de ma vie. Bien entendu, me faire accepter, moi, le nerd, n’a pas été chose facile. Mais grâce à mon super cerveau, j’ai très vite su me rendre indispensable. Au contact de mes frères, j’ai très vite changé de caractère et surtout de mode de vie. Et je leur en serais éternellement reconnaissant de m’avoir parfois mis dans des situations inextricablement judiciaires.
C’est vrai que je n’ai ni le physique, ni le visage d’un modèle d’Hugo Boss, mais croyez-moi quand je vous dis que je ne suis jamais souvent seul dans mon lit. L’avantage d’être un Sigma Chi, c’est la réputation qui va avec. Alors qu’importe que je sois pauvre comme un mendiant ou passablement beau, c’est ce qui se passe à l’intérieur d’une pièce avec moi et au minimum une donzelle. Contenu bien évidemment censuré, interdit au moins de vingt-cinq ans.
Ah oui, c’est vrai… mon année de bizut ! Ça s’est plutôt bien passé. Après tout, j’avais déjà subi bien pire. Je relevais les épreuves avec une facilité étonnante car plus rien ne me faisait peur. Ou presque. Je n’ai pas trop apprécié l’épreuve des mille-pattes dans mon lit. Ça fait un mal de chien. J’en frissonne encore.
Nous prônons bien évidemment la solidarité. C’est donc avec joie que je pirate solidairement et régulièrement les notes de mes frères. Soyons honnête, on ne peut pas faire la fête ET étudier en même temps. Et mélanger parfois les deux donne la plupart du temps une mauvaise réaction chimique. D’autant plus que ça me rapporte pas mal de fric.


My little secrets
01. C’est vrai que je ne suis pas un modèle de vertu, je vous l’accorde. Mais s’il y a une chose dont je suis certain, c’est que lorsque j’aime, j’aime vraiment. Et surtout, je suis fidèle. Oui, je sais, c’est difficile à croire lorsqu’on me connait. Et pourtant ! Actuellement, je suis fidèle à mes infidélités. Et oui !
Enfin bref, là n’est pas le sujet.
J’ai été amoureux une fois. Je l’aimais plus que tout. Je ne pense pas avoir commis un quelconque impair si ce n’est  être resté moi-même quoiqu’il advienne. Je pense que lorsqu’on aime, il faut accepter ce qu’est l’autre personne. Bien évidemment, il faut que l’autre personne fasse de même.
Je jure que j’ai été irréprochable. Mais il semblerait que ce n’était pas l’avis de madame. Au départ, je supportais les crises de jalousie, le flicage (dieu sait que je n’aime pas ça) et même l’invasion dans ma vie privée. Pourtant, cela n’a pas été suffisant. Elle m’accusé de l’avoir trompée au moins trente-six fois. Je faisais tout pour me défendre et pourtant, rien n’y faisait. Je n’étais pas digne de confiance. Et le pire dans tout ça, c’est qu’elle m’a quitté. Depuis lors, j’ai juste décidé que quitte à ne pas avoir confiance en moi, autant donner une bonne raison. C’est donc comme ça que je suis devenu celui que je suis actuellement. Queutard en série. Infidèle. Mais toujours sympathique.

02. Je ne souhaiterais à personne d’être en cavale. Surtout avec le Patriot Act sur le dos. Sauf si bien évidemment, vous vous servez de celui-ci pour vous cacher. Et croyez-moi, c’est encore mieux que la cape d’invisibilité de notre cher Harry Potter. On peut même faire des choses encore plus sympa… comme espionner les fédéraux qui vous espionnent par exemple. Vous savez le mythe du petit camion de surveillance ? Avec deux agents en planque ? C’est plus que réel. D’ailleurs, je ne comprends pas comment ils peuvent croire que personne ne remarquera un camion garé seul sur une rue.
Mais l’important de cette petite histoire, c’est ce qui se passe dans ce camion. Je ne vous cache pas que je me suis même paluché devant.
J’avais eu la chance d’avoir deux femmes rien que pour moi. Et je pense qu’il devait faire très chaud dans le camion. Il faisait même si chaud qu’elles ont ressenti le besoin de se rafraichir en se donnant des coups de langues là où elles avaient manifestement très très très chaud.
Je ne suis qu’un mâle. Je suis donc excusé de mon comportement.
C’est comme ça que j’ai su que les fédéraux étaient vraiment des bâtards en puissance. Parce que oui, c’est comme ça que je me suis fait arrêter. Oui… en matant deux nanas dans un camion.  Les pétasses. Je ne les remercierais jamais assez.

03.  Donc bon, il y a ce mec, vous savez… le genre de mec sur qui toutes les nanas se retournent lorsqu’il passe. Eh bien… j’ai fait pareil. En revanche, je ne me suis pas mis à mouiller comme une pucelle. Cela me serait bien évidemment impossible. Mais … dans le cas où cela aurait été possible, je pense que je l’aurais fait sans aucune retenue. Quoi ? Est-ce que c’est de ma faute ? Non, je ne le pense pas. Moi je suis la victime dans cette histoire ! Je tiens à signaler qu’à cause de cet individu, j’ai sérieusement commencé à me poser des questions sur ma si florissante sexualité. Avant de le croiser et accessoirement tenir un journal de tous ses déplacements sur le campus (ne me jugez pas, je suis faible), ma vie était géniale ! J’avais des seins et des vagins tout le temps autour de moi. Et j’aime les vagins. Mais depuis peu, mes préférences dérivent quelques peu. C’est dur quand vous êtes dans une confrérie et que vous commencez à regarder vos frères d’une manière différente. Ça fout les jetons, je vous jure ! Mais au final, j’ai arrêté de me prendre la tête pour rien. Je me suis dit : On s’en fout Myc, sérieux, ça te fais juste plus de fesses !  

04. En tant que fils de pute, j’ai eu une certaine éducation. Je ne suis pas sûr que ce soit le genre d’éducation que s’attend à recevoir un enfant. Mais bon, je l’ai suivi sans dire un mot. A l’heure actuelle, je suis certain de n’avoir pas laissé des gosses quelque part. Je l’espère du moins. En fait non, je suis quasiment certain, que peut-être, j’ai merdé une fois. Mais pour l’instant, je me dit qu’elle ne m’a pas encore retrouvé pour me le faire payer.
Je me souviens d’elle. Une très jolie jeune femme, blonde bien évidemment. Un très bon coup. Et je suis quasiment certain qu’elle me tuera si elle me met la main dessus. Pourquoi ? Tout simplement parce que je pense lui avoir brisé le cœur lorsque je me suis fait encore arrêté par le FBI. Vous savez… je ne l’ai pas oublié et je sais que j’aurais dû la prévenir parce que j’avais droit à un appel. Et je ne l’ai pas fait. J’aurais dû pourtant. Je sais que j’aurais dû, surtout parce que je savais… et que j’ai pris mon arrestation pour une sortie de secours. Soyons honnête, je ne suis pas non plus un modèle de paternité. Ce gamin aurait souffert si j’étais resté. J’aurais autant merdé que ma pétasse de génitrice. Je ne pense pas que je doive un jour avoir une famille. Après tout, j’ai juste un cerveau. A part ça, iln’y a rien de beau et de sécuritaire à propos de moi. Et ça, je le vis très mal, malgré les apparences…


05. Neal. Jason. Thomas. Nash. J’avais le choix entre tous ces noms et bien d’autres encore. C’était la liste que m’avait donné l’agent Moore. Il l’avait posé devant moi avec un dédain non dissimulé. Après tout, on lui demandait de me créer une toute nouvelle identité et pire encore, une identité légale. Je savais déjà ce que je voulais. Mon regard avait bien évidemment accroché le prénom Seth, mais je suis que c’était un peu trop réel. Il y avait aussi Amassia, le fardeau de Dieu. Mais là encore, je me suis dit que c’était encore trop proche de la vérité. Donc, j’ai choisis un prénom qui me ressemblait bien bien. Mycroft. Le frère omniprésent de Sherlock Holmes. Je pensais que ça m’irait bien. Ce n’était pas que je voulais ressembler à un mec qui faisait partie du MI-5 mais je dois dire que son intelligence et son pouvoir m’ont toujours plu. Pour le nom de famille ? J’avais bien évidemment fait des recherches. Je savais ce que je voulais en faire. J’avais bien évidemment passé un entretien par la suite, pour prouver que mes choix n’étaient pas sous la motivation d’un futur délit. Alors, j’avais juste fait remarquer que ce nom était sur la liste de l’agent Moore.
Cela dit…je ne me suis pas encore servi sur le compte du banquier Hoffman. Pas encore. Je me présenterais bientôt en tant qu’enfant illégitime d’une de ses putains. Il en a baisé tellement que ce ne sera pas difficile. Et pour l’ADN ? Enfin voyons, vous pensez vraiment que je ne suis pas capable de falsifier des analyses chimiques ?

06. Une anecdote sur votre personnage. 07. Une anecdote sur votre personnage. 08. Une anecdote sur votre personnage.

ATTENTION ! Un minimum de 8 anecdotes est exigé dans le cas où vous choisissez de rédiger une histoire complète pour votre personnage. Dans le cas où vous ne désirez pas rédiger d'histoire, un minimum de 20 anecdotes est attendu. SUPPRIMEZ CECI LORS DE LA CRÉATION DE VOTRE FICHE !

The story of my life
On ne peut pas dire que j’ai eu la vie facile d’autant plus que celle-ci a très mal commencé. Pour faire court et simple, ma mère était une femme de vraiment petite vertu, mon père un riche bouseux qui l’a sauté une fois de trop et la mise enceinte. Résultat : TADAAAAM. Moi.
Comme vous vous en doutez, je n’avais rien demandé à personne. Ma mère espérait que grâce à cet accident, elle allait devenir la maitresse officielle de mon cher géniteur. Et malheureusement pour elle, non. Très peu de temps après ma naissance, elle m’a présenté à ce cher sénateur qui a nié en bloc un quelconque lien de parenté avec moi. Ça ne m’a jamais dérangé étant donné qu’il est une véritable tête de bite. Oups, pardon, je m’étais promis d’être poli. Donc, mon géniteur est un véritable connard.
Pour ma mère, avoir un gosse, c’était la fin de sa carrière de prostituée. Alors, en plus de se droguer elle fit une dépression et tenta même de se suicider après m’avoir battu. Il était clair que j’étais la cause de tous ses malheurs. Enfin bref. Je fus recueilli par les services sociaux de Pittsburg à l’âge de six ans. J’ai été à l’école pour la première fois de ma vie et c’est à ce moment-là que j’ai su que ma vie était vraiment de la merde. Les autres avaient des parents plus ou moins normaux mais j’étais sûr à 99,99% qu’aucun d’eux n’était un fils de pute. Moi oui. Simple réalité.
Je savais que je ne pouvais pas rivaliser avec eux. Mais j’étais un garçon intelligent. Certes, Internet n’était pas aussi évolué que maintenant, mais il me restait mes livres. Le seul moyen de m’élever dans la société était de me m’élever intellectuellement. J’ai donc passé les dix années suivantes à entrainer ce super cerveau qui est le mien. Vous saviez qu’il n’y que cinq personnes au XXIème siècle qui possèdent un cerveau comme le mien ? Génial non ? Fils de pute peut-être mais fils de pute surdoué ! Ça doit être à cause de toutes les sécrétions que ma mère a dû ingurgiter pendant son travail de femme moderne. Mais passons.
A seize ans, j’étais devenu un véritable criminel. Et je dois dire que je n’en suis pas peu fier. Je n’avais pas à disposition tout l’appareillage que je dispose actuellement et heureusement… parce que j’aurais été un véritable criminel emprisonné parce que j’aurais sans doute fait sauter le Pentagone. Oups again. Je ne suis pas censé parler de ça. J’étais ce qu’on appelle un cybercriminel. Le hack, c’était mon truc. Je ne m’étais pas encore intéressé à la biochimie alors je faisais tout avec mon ordinateur. J’ai fait des choses pas très sympa, pas très légale mais c’était cool. Mais ça m’est très vite monté à la tête (surtout la fois où j’ai voulu m’installer au Pentagone en fait) et je me suis fait arrêter. En près de dix ans, je revis ma mère depuis la fois où l’on m’a emmené à l’orphelinat. Elle avait changé. Elle était… siliconée. En plastique. Et elle s’était mariée. Elle m’a fait le speech de la mère qui a tout fait pour retrouver son fils chéri mais je voyais bien que son mari, lui, n’était pas du tout ravi de me voir. Mais encore une fois… je m’en fichais. Je les suivis docilement, et le soir même je m’enfuyais avec les bijoux et beaucoup de fric. Pourquoi les riches mettent-ils toujours d’énormes sommes d’argent dans le coffre derrière le tableau du salon ?
J’allais à New York. C’est là que je me suis fait recruter pour une très haute organisation gouvernementale dont je tairais le nom. D’ailleurs, j’ai changé de nom. Ils ont entièrement effacé mes crimes juvéniles, donné une toute nouvelle identité, celle que je porte fièrement actuellement, et surtout… ils m’ont formé. J’adorais l’Académie, vraiment. J’y aie appris beaucoup plus de choses que je ne l’aurais fait dans un lycée normal. J’avais pu discuter avec des personnes qui comprenaient ce que je racontais. C’était génial. Mais le but de tout ceci, c’était de faire de moi un soldat pour défendre la patrie. Je ne suis pas un lâche, mais laissez-moi vous dire qu’il était absolument hors de question que j’aille me faire buter en Afghanistan ou en Irak parce qu’un timbré veut garder sa suprématie sur un pays qui ne lui appartient même pas. Alors… je me suis enfui. Et depuis, je maudis continuellement ce putain de Patriot Act.
Mes chers amis fédéraux n’ont pas mis longtemps à me retrouver et à m’envoyer directement à la case prison. Tout ce que je pensais effacé est revenu à la surface. Evidemment. Bouuuuh. Les méchants.
Encore une fois, je m’en fichais.
Constatant que ma vie n’avait pas un prix assez élevé pour moi, ils proposèrent un deal que j’acceptais. On ne dit pas non à ces gens-là. J’ai donc trimé dans leur labo pendant trois ans. J’y ai découvert la biochimie et la robotique. Ensemble, la Biotechnologie et c’est vraiment bandant comme matière. Je pouvais laisser mon cerveau vagabonder sans aucune restriction car tout, absolument tout, devenait possible. J’aimais beaucoup ce sentiment. Mais croyez-moi, malgré tout l’amour que j’avais pour mon laboratoire, dès qu’on me notifia que j’étais libéré, je pris mes clics et mes clacs, abandonnant tout derrière moi. Je quittais le lieu où je me trouvais et voyageais un peu. Je découvris le monde avec mes yeux de pauvre. Je n’hésitais pas à hacker le compte d’un riche pour vivre car ils ne voyaient même pas la différence. Et puis un jour, me suis dit qu’il fallait que j’arrête. J’étais à Chicago. Je changeais de nom de famille et me créait une toute nouvelle identité. Hoffman, le nom d’un grand banquier du coin. Sans qu’il le sache, il venait d’avoir un fils en plus.
Mon inscription fut aisée. Vraiment. Comme la vodka qui glisse sur le corps d’une Omicron Pi. Oups… fallait pas le dire ça. Je retire. Les Alpha Omicron Pi sont toutes des femmes d’élégance et de vertu. Pardon. Dooooonc, j’entrais à l’université. J’avais vingt-deux ans et j’étais un véritable freshman ! J’avais résisté à la tentation de me faire sauter des classes (ce qui serait bien évidemment légitime puisque j’étais plus intelligent que n’importe quel professeur du coin) mais j’étais là pour m’amuser ! Et faire la fête ! Et baiser ! Et me saouler ! Et encore baiser !
Certes… ma première année fut vraiment éprouvante. Les gens n’aiment pas quand vous en avez trop dans la tête. J’avais subi les pires cruautés possibles avant de rejoindre les rangs des Sigma. Je me souviens encore de ce que j’ai dit lors de mon « entretien » : « Je suis un véritable fils de pute. Je pense avoir droit à une place VIP. Et accessoirement, je peux hacker le système et faire de vous les meilleurs étudiants au monde ». On m’a laissé entrer mais on ne m’a pas épargné le bizutage. Hmpf. Cette blague. J’en avais tellement bouffé que plus rien ne me faisait effet. Après l’épreuve des mille-pattes, ils me laissèrent enfin en paix. Je découvris les soirées et ces femmes chastes et pures signifiées plus haut.
Les cours ? Ah oui c’est vrai. Ca. Les professeurs ont très vite compris qu’ils n’avaient rien à m’apprendre. Et ils ne comprenaient pas pourquoi j’assistais à leur cours alors que je n’en avais pas besoin. C’était juste pour le fun. Regarder ces jolies petites têtes se fendre sur des calculs qu’ils pensaient impossibles et faire mon marché.
La vie d’étudiant, c’était vraiment génial. Mais bientôt, ce serait terminé. Dans quelques années, j’allais être diplômé. Alors il fallait que j’en profite maintenant.

Pseudo ➜ Zhedd Âge ➜ 125 Pays ➜ France Fréquence de connexion ➜ 5/7 Découverte du forum ➜ Top-Site Avis ➜ I AM FABOLOUS Autres ➜ J'ai rien fait  M.H 2.0 3533782792

Grant Gustin - Inventé
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