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 démon à gueule d'ange.

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MessageSujet: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 2:32

Mathias TiagoDa Costa

Christopher Mccrory
Né(e) le 2 novembre 1994 à Lyon (France), j'ai 21 ans et suis de nationalité Franco-Portugaise. Si vous voulez en savoir un peu plus sur moi, sachez que je suis plutôt officiellement pauvre, officieusement plus que modeste et que je le vis pas trop mal ! Actuellement célibataire, je tiens à préciser que je suis plutôt du genre à aimer les pénis... Désolé(e) d'avance pour les cœurs brisés.

Diplôme préparé : bachelorCycle & année d'étude : Undergraduate, 3ème annéeCursus majeur : ArtsSpécialisation : dessinCursus mineur : Physique

Personnalité & addictions

Drôle - 45%
Réfléchi(e) - 20%
Créatif(ve) - 95%
Travailleur(euse) - 70%
Fêtard(e) - 85%
Narcissique - 80%
Artiste - 95%
Amical(e) - 35%
Jaloux(se) - 45%
Méfiant(e) - 90%
Sportif(ve) - 75%
Prude - 05%
Généreux(se) - 10%
Têtu(e) - 75%
Hautain(e) - 30%
Séducteur(trice) - 70%
Honnête - 20%
Joueur(euse) - 75%
Alcool : 80%Drogues : 90%Sexe : 80%

Renseignements multiples
Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? Parce que mon professeur d'art me l'a conseillé. Il pensait que là où j'étudiais avant n'était pas fait pour moi. Les études n'étaient pas assez basées sur l'art, alors, il m'a dégoté une bourse et grâce à lui, j'ai pu poser mes valises à Chicago, en juillet et me déclarer élève de l'université de Chicago, en septembre. Heureusement que je parle bien anglais, cela m'a permis de bien rattraper mon retard grâce à mes cours de remise à niveau et maintenant, je suis les cours normaux, comme si j'étais dans cette école depuis des années. C'est moi qui ai désiré venir deux mois avant la rentrée, à fin de m'habituer à cette grande ville qui est très différente de Lyon et pour être prêt à commencer l'année début septembre, avec des revenus corrects. C'est bien la seule fois où j'ai accepté d'écouter les conseils d'un prof. C'est juste parce que ça en valait le coup et que l'art est vraiment important pour moi.

Quelles sont vos sources de financement universitaire ? J'ai eu la chance d'avoir une bourse, sinon, jamais je n'aurais pu me permettre d'entrer dans cette école, vu le prix qu'elle coûte tous les ans. Néanmoins, la bourse ne paye pas tous les frais, alors, pour payer le reste de l'université, le loyer, la bouffe, je deale. En réalité, c'est pour ça que je suis venu plus tôt à Chicago. J'ai retrouvé un homme avec qui je parlais depuis des années, et il m'a aidé à reconstruire mon trafic, comme celui que je possédais à Lyon. Les clients se sont vite multipliés. Pour l'État, je travaille dans un snack en tant que plongeur-caissier. Je me suis arrangé avec le patron qui est très adepte de mes petites pilules magiques, pour qu'il me couvre auprès de l'état, tandis que je lui fais des petites réductions sur ce que je lui vends. C'est un bon compromis. Mais ça bien sûr, tu le gardes pour toi, hein. Que je n'apprenne pas que ça s'est ébruité dans l'administration de l'université, on s'est bien compris?

Que pensez-vous du système de confrérie ? Je trouve ce système débile. Sous prétexte que l'on aime les mêmes choses, on doit forcément s'entendre et partager une maison ? Oh non, je ne vois pas les choses comme ça moi. Je ne supporte pas ces confréries. Elles sont remplies d'hypocrisie et de faux, tout sonne faux. Ils devraient supprimer ce système une bonne fois pour toute et laisser les étudiants vivre pour eux même et non pour suivre une personne sans aucune personnalité. Je dirais presque que ces confréries sont des sectes.

D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? Après tout ce que je viens de te dire, tu arrives encore à me demander si je fais partie d'une confrérie ? T'es bête ou quoi toi ? Jamais je ne serais dans une confrérie, t'as bien compris ? Jamais. Je ne suis pas un mouton, ni un robot. Je suis fait pour penser de moi-même, pour prendre mes décisions selon mon ressenti et non selon ceux d'une vingtaine de personnes. Même si les Kappa Alpha Psi, m'ont déjà proposé de rejoindre leurs rangs, ce fut un non, catégorique et ça le sera toujours. C'est clair maintenant ? Ouais, abruti.

Biographie

C'est l'histoire d'une descente aux enfers...

Un bruit de tir se fait entendre et instinctivement, tu te baisses, les bras au-dessus de la tête. « Lève-toi Mathias, fait pas l'abruti. » Que te dit une voix derrière toi. Tu te relèves et te tournes. Personne n'a bougé, certains mangent des parts de pizzas sur le sol, d'autres sont assis sur les canapés, de grosses cigarettes en main. Personne n'a l'air inquiet de ce bruit, de ce qu'il a pu se passer dans le bureau de l'entrepôt. Ton cœur s'est totalement emballé à l'entente de ce bruit que tu n'as clairement pas l'habitude d'entendre, Tu tentes de te calmer en respirant fort, sous quelques regards des gars. « Viens donc t'asseoir avec nous. » Tu hoches simplement la tête et t'exécutes. Tu ne préfères pas les contredire ou débattre avec eux, ils ne sont pas dans le meilleur état pour cela. Tu ne veux pas risquer de te prendre des coups, même si tu sais que Boris te défendrait s'il le voyait. Tu t'assois sagement, les jambes serrés. Ton regard paillonne entre tous, ils ont l'air loin d'ici. « Tiens, ça va te détendre. » Ton regard se pose directement sur le joint qu'il te tend. Il sourit. Il a l'air de vraiment penser que cela t'aidera à te détendre et il a peut-être raison. Tu hausses les épaules, après quelques secondes de réflexion et finis par attraper la grande cigarette. Tu n'as jamais touché à cela et tu n'aurais jamais pensé y toucher un jour. Tu l'approches de tes lèvres, prêt à goûter à ce qui les rends aussi perdu, quand tu vois une main apparaître devant toi. Celle-ci te prend le joint de la main. Tu lèves directement la tête, curieux de savoir qui te la piquer. Tu aperçois Boris le jeter sur le sol et sûrement l'écraser, avant de te regarder et de t'adresser un sourire. « Hé, c'était le mien ! » Il lève la tête vers lui. « Ta gueule. » Simple, mais efficace. Il n'osera plus parler, tu en es sûr. Boris impressionne et intimide tout le monde ici. Toi, tu aurais plus tendance à l'admirer plus qu'autre chose. Il pose ses mains sur tes joues et dépose un baiser sur ton front. Il a toujours été tendre avec toi, et ce, depuis que tu les as rejoints. C'est ce que tu aimes en lui, il peut se montrer horrible avec les autres, mais toujours adorables avec toi. « Tu viens avec moi ? J'ai besoin de ton aide. » Qu'il te demande et bien sûr, tu ne peux refuser. De toute façon, tu n'en as pas l'envie. Qu'importe ce qu'il te demande de faire, tu le ferras. Tu en oublierais même qu'il était dans le bureau lorsque le bruit a retenti. tu te lèves et le suis jusqu'à ce qui ressemble à un placard. Tu n'avais jamais ouvert cette porte avant. Il fouille un peu partout et te tends plusieurs choses. De la javel, un sac-poubelle. « Dit, qu'est-ce qui s'est passé dans le bureau ? » Tu lui demandes, mais tu n'as le droit à aucune réponse de sa part. Il continue de chercher et de te donner des objets. Des gants, un masque. Lui, prend une serpillière. « C'était quoi ce bruit ? » Tu demandes de nouveau, tandis qu'il referme la porte. Il ne te répond toujours pas. « Suis-moi. » Qu'il se contente de dire. Tu obéis. Tu sais très bien qu'il n'aime pas lorsque tu es trop curieux et tu ne veux pas risquer de l'énerver, il est très impulsif, mais n'a jamais mis la main sur toi jusque-là. Il ne faudrait pas que ça commence aujourd'hui. Tu le suis bien sagement, jusqu'à ce qu'il s'arrête devant la porte du bureau... « Mets ton masque. » Tu hoches la tête, l'enfilant juste après. Il ouvre la porte et te fait entrer avant lui. Tu ne sais pas exactement ce que tu as ressenti à ce moment-là. Si c'est de la peur, du dégoût, de la tristesse. Tes yeux ne savaient même pas où regarder.Le spectacle qui se trouvait en face de toi était digne d'un film d'horreur. À quelques centimètres de toi se trouvait un corps sans vie, mais surtout sans tête. Le cou à moitié décomposé avait laissé couler du sang sur le sol, formant une flaque. Mais ce n'était pas vraiment cela qui te choquait le plus à vrai dire, ce n'était pas non plus le sang sur les murs qui était la preuve d'une explosion, ni l'odeur infâme qui traverse le masque pour remonter dans tes narines. Ce qui te choquer le plus était les morceaux de peau éparpillés un peu partout, les yeux éclatés, les morceaux de cervelles. S'en est trop pour toi. Tu sens ton ventre se retourner et ta première réaction est de te mettre à courir jusqu'aux toilettes, allant vomir. Tu n'avais jamais vu quelque chose d'aussi dégoutant de toute ta vie et tu ne pensais pas que cela pouvait arriver. À genoux face à la cuvette, les larmes aux yeux, tu ne peux t'enlever l'image de ta tête. Tu entends des bruits de pas et puis, une présence derrière toi. « Ça va ? » Tu te contentes de tourner la tête vers lui et lui jeter un regard noir. À son avis ? Bien sûr que non ça ne va pas. Tu viens de voir un spectacle horrible, qui pourrait dégoûter tout jeune de dix-sept ans, merde. Tu ne prends même pas la peine répondre, tu poses simplement la tête contre le bord de la cuvette, laissant les larmes couler le long de tes yeux. À cet instant, tu le détestes de t'avoir fait vivre cela. Il soupire, il est agacé. Sûrement parce qu'il pensait que tu étais bien plus fort que ça, ou est-ce parce qu'il n'a pas apprécié le regard que tu lui as jeté ? Malgré tout, tu le sens se mettre à genoux à son tour, posant ses mains sur ton dos, t'offrant une caresse qui se veut rassurante. « Allez ça va aller Mathias, reprends-toi. » Qu'il murmure doucement. Tu devrais l'écouter, ou bien l'envoyer balader en beauté. Tu ne sais pas quoi faire, tu es trop perturbé pour penser correctement. Tu entends le bruit du rouleau de papier toilette, avant de sentir sa main attraper ton menton à fin de te faire tourner la tête vers lui. Ton regard humide ne le quitte pas, tandis qu'il nettoie ta bouche. Il jette le tout dans la cuvette avant d'encrer son regard dans le tien. « Écoute Mathias, tu vivras des trucs bien pire que ça dans la vie, tu sais, je te l'ai dit. la vie est horrible et si tu veux survivre, il faut que tu sois fort, plus fort que ça. » Il caresse tes joues à l'aide de ses pouces. « Je dois partir, et il n'y a que toi qui es en état de le faire, tu les as vues les autres ? » Il n'a pas tort, s'ils se mettent à nettoyer, cela risque d'être encore pire. « Tout ira bien... Tu me fais confiance ? » Tu le regardes. Bien sûr que tu lui fais confiance, à lui plus qu'à n'importe qui. « Oui. » Que tu murmures doucement, incertain. Tu ne pensais pas que tu t'embarquais dans une telle aventure lorsque tu les as rejoints. « Tu vas le faire alors ? Pour moi ? » Tu n'as même pas une minute d'inattention, la preuve qu'il sait absolument comment te parler. « Bien sûr. » Il sourit et dépose de nouveau un baiser sur ton front. Ses mains quittent ton visage, à ta grande déception et tu le vois s'en aller. Tu soupires un grand coup. Il va te falloir beaucoup de courage maintenant. Tu décides finalement de te lever, après une dizaine de minutes resté assis. Tu dois le faire, pour lui. Après tout ce qu'il a fait pour toi, tu lui dois bien ça. Tu retournes là-bas, enfilant les gants, une boule au ventre. Tu récupères les morceaux de tout ce que tu trouves dans la salle, tout en essayant de ne pas craquer, de ne pas fondre en larmes. Tu essayes de penser à autre chose, à quel point il sera fier de toi quand il verra que tu as fait ce qu'il t'a demandé. Mais comment en es-tu arrivé là Mathias ? Comment en es-tu arrivé au point de faire quelque chose d'ignoble pour recevoir la tendresse d'un homme ?

2 semaines plus tôt :
Les murs tremblent dans l'appartement Da Costa, qui est en réalité une location. Dans ce petit quartier pauvre de Lyon, les voisins doivent râler à cause de tout ce bruit que font tes parents. Dans ta chambre, le casque sur la tête, la musique dans les oreilles, tu essayes de ne pas penser à ce qui se passe dans la maison, mais tu n'y arrives pas, ils crient bien trop fort. Alors, tu décides de retirer ton casque, le laissant autour de ton cou, pour écouter pourquoi les parents Da Costa se disputent cette fois-ci. « Il passe sa vie dehors, nuit et jour, il n'est presque jamais là ! On ne sait pas ce qu'il fait, la seule chose que l'on sait, c'est qu'il va au lycée ! On est ses parents, ce n'est pas normal ! » Ah et bien, tu sais pourquoi ils se disputent. « Et tu veux que l'on fasse quoi ? On ne va pas le fliquer non plus. Il a dix-sept ans maintenant, il a l'âge de sortir ! » C'est bien ta mère ça, toujours à prendre ta défense, même lorsque c'est toi qui es en tort. Tu ne peux les laisser se disputer comme cela, sans rien dire. Tu jettes ton casque sur le lit et sors de ta chambre, pour aller les rejoindre dans la cuisine. « C'est quoi le problème ? » Tu demandes, en regardant plus ton père que ta mère. « Le problème, c'est toi Mathias, je ne sais pas ce qui t'arrive depuis quelques mois, mais tu dois te croire tout permit parce que tes dix-huit ans arrivent, mais ce n'est pas le cas. Tu es encore sous notre responsabilité et tu n'as pas à sortir comme ça, à tout vas, n'importe quand ! » Tu secoues la tête. Au fond, tu sais que tes sorties sont justes la seule excuse qu'il a trouvée pour provoquer une nouvelle dispute. À croire que c'est sa passion de crier sur les gens. « Je sors parce qu'ici, je vais péter un câble, tu ne vois pas ce que tu me fais vivre, mais surtout ce que tu fais vivre à maman. Elle bosse chaque jour, elle revient morte de fatiguer, pour une paye de misère qui passe dans tes passages au bar d'à côté, elle doit préparer à manger pour monsieur qui est resté toute la journée au bar. Le problème, ce n'est pas moi, c'est toi. Sors-toi les doigts du cul et trouve toi un boulot ! » Sa main sur ton visage, tu ne l'as même pas vu venir. Mais, cela est bien arrivé. Tu ne réponds pas, tu es plus intelligent que lui. « Si ça ne te va pas, la porte est ouverte. On n'a pas besoin d'un accident. » Et bim prend toi-là celle-là. Tu le regardes, avant de tourner le dos pour retourner dans ta chambre. Tu attrapes un sac de sport et le remplis des choses importantes pour toi, de ce dont tu as besoin. Il te faut une dizaine de minutes pour tout rassembler, avant de sortir. Tu traverses le salon sous les yeux de ta mère surprise. Il n'est même plus là, mais tu n'as pas le temps de remarquer. Tu quittes la maison, sans même dire au revoir à ta mère. Elle ne te court pas après, elle pense sûrement que ce n'est qu'un coup de colère et que tu reviendras. Mais non, cette fois-ci, tu t'en vas, et pour de bon.

2 ans plus tard : Il t'a fallu plusieurs mois, et même années, pour te faire à ce style de vie. La vie dans la rue est bien différente de tout ce que tu as vécu. Elle est aussi dure que Boris t'avait dit, elle est aussi horrible. Tu ne ressembles en rien au gamin que tu étais il y a deux ans, quand tu n'osais pas répondre à celui que tu considères comme ton âme sœur. Tu as bien évolué, après ce jour qui a tout changé. Ce jour qui t'a traumatisé pendant plusieurs mois, qui te faisait faire des cauchemars chaque soir, exaspérant Boris. Il en avait marre d'être réveillé à quatre-heures du matin par tes cris, de devoir t'attraper contre lui et passer une trentaine de minutes à essayer de te rassurer. Mais heureusement, cela a fini par te passer, tu as fini par t'habituer à l'idée de voir ce genre de chose toute ta vie. Tu as évolué, tu as grandi. Tu ne te laisses plus marcher sur les pieds par les gars, c'est même toi qui t'imposes désormais. Boris t'a permis de prendre des responsabilités, il t'a guidé dans ton apprentissage pour au final, te laisser être son dealer. Tu as pris plaisir à ce métier. Il faut dire que c'est de l'argent facile, qui te permet de payer l'école. Malgré que tu fasses partie du monde de la rue désormais, tu ne voulais pas quitter tes études. L'art est bien trop important pour toi et ça, tout le monde le sait. C'est seulement pour cela que ton petit copain, si on peut appeler ça comme ça, t'as laissé le droit de survivre des cours. Et puis, tu fais déjà assez pour lui, il peut bien te laisser cela. Tu as totalement mis ta vie de côté pour te dévouer à lui, en oubliant même que toi aussi, tu as le droit de penser par toi-même. Il a toujours eu cet effet hypnotisant sur toi, il peut te faire faire tout et n'importe quoi. Mais cette vie, au fond, commence un peu à te lasser. Mais tu n'as pas d'autres possibilité et puis, tu ne quitteras jamais ton âme sœur.

2 ans plus tard : Un coup d'œil sur le panneau d'affichage, tu es à l'heure. Tu avais peur d'arriver en retard, ce serait vraiment dommage de rater ton avion. Tu te rends directement aux fouilles, pour ensuite passer une vingtaine de minutes sur un siège, à attendre l'ouverture des portes. Tu suis la foule, lorsque celle-ci se dirige en direction de l'avion. Tu fais la queue pour monter. Arrivé en haut, le steward te salue et toi, tu l'ignores totalement. Tu sens le regard insistant de certaines personnes sur les traces que tu as sur le visage. Tu cherches la place qui t'a été attribuée et tu t'y assois, les écouteurs sur les oreilles. Tu te fiches de qui s'assoit à tes côtés. Et voilà. Te voilà sur le grand départ pour les Etats-Unis. Qui aurait pu prévoir que tu partirais comme cela ? Il y a deux ans, tu ne voyais aucune autre solution que rester avec les gars et de faire ce boulot toute ta vie, sous les ordres de ton âme sœur. Âme sœur, mon cul, ouais. Il s'est bien servi de toi durant toutes ses années et toi, tu étais si naïf que tu ne voyais rien, rien du tout. Tu étais celui qui faisait le sale boulot à sa place, à la place des autres. Tu n'étais qu'un pion dans son jeu. Mais ce qui t'a vraiment fait comprendre que tu n'étais pas important pour lui, ça a été l'annonce de ton départ. Tu avais décidé de lui dire avant tous les autres. Tu t'attendais à une mauvaise réaction, certes, mais pas à ce point-là. Lui qui ne t'avait jamais fait de mal au cours de toutes ces années passées ensemble, lui qui n'avait jamais osé lever la main sur toi, à totalement craquer ce soir-là.

Un jour plus tôt :
Tu rentres à la maison, après une grosse journée de vente. Tu déboules rapidement dans la maison. Boris est assis devant la télé, il trie quelque chose. A vrai dire, tu n'y fais pas vraiment attention. « Salut. » Que tu t'exclames, en traversant le salon sans lui jeter un regard. « Tu vas où ? » Qu'il te demande. « A la douche, je pue. » Tu rétorques avant d'entrer dans la salle de bains. Tu as besoin d'une douche, c'est vrai. Et puis, tu avais besoin d'un peu de temps avant de lui faire ton annonce. Tu restes bien une bonne petite demi-heure sous l'eau chaude, avant de sortir et de te sécher. Tu peux te permettre de rester aussi longtemps sous l'eau, c'est Boris qui paye la facture et il faut dire qu'il ne manque pas d'argent. Tu sors de la salle de bains et traverses le couloir pour te rendre dans la chambre. « Viens-là. » Que tu l'entends dire. « Attends, je suis tout nu, je vais chercher un caleçon. » Que tu t'exclames. « Justement, c'est pour ça que je veux que tu viennes. » Tu lèves les yeux au ciel avant de te rendre dans la chambre pour enfiler un caleçon et un t-shirt. Tu étais prêt à rester comme cela, comme tu fais habituellement, mais ce n'est pas vraiment une bonne idée. Si Boris réagit mal à ce que tu as à lui dire, tu ne vas pas t'en aller à moitié nu. Mais, si tu t'habilles, il risque de se douter qu'il y ait quelque chose de louche. Alors, tu restes dans cette tenue et rejoins la cuisine. « Je ne voulais pas que tu t'habilles. » Qu'il te dit, lorsqu'il te voit te rendre dans la cuisine, pour aller chercher quelque chose à grignoter dans le frigo. « Et puis viens là ! » Qu'il s'exclame, avant de souffler. Il a levé le ton, signe qu'il commence à s'agacer. Alors, tu abandonnes ton envie de manger un bout et te rends dans le salon. Tu t'agenouilles devant la table de salon et remplis une des feuilles slim de tabac et d'herbes. Il te regarde faire. Tu relèves la tête pour enfin le regarder. « Tu as du feu ? » Tu l'interroges du regard, prenant le joint entre tes lèvres. Il se contente de le sortir de sa poche et de le garder en main, l'allumant au passage. Tu secoues la tête. Il va falloir que tu te déplaces en plus. Tu te lèves et le rejoins, te penchant au-dessus de lui pour qu'il l'allume. Lorsque c'est fait, tu tentes de t'enfuir en reculant légèrement, mais ses mains te rattrapent vite, te faisant tomber sur lui. Tu te laisses faire, lorsqu'il tire ton visage près du sien pour t'embrasser. « Tout s'est bien passé aujourd'hui ? » Tu te contentes de hocher la tête, signe que tu as bien fait ton boulot. Il te prend la grande cigarette de la main, pour tirer dessus avant de la poser sur le cendrier sur la table, te faisant légèrement basculer en arrière au passage. Tu contestes, d'un petit bruit, qui a l'air de l'amuser. Ses mains viennent se poser sur le bas de ton dos pour te coller un peu plus à lui. Il t'embrasse de nouveau, un baiser un peu plus passionné, que tu apprécies vraiment. Ses lèvres rejoignent désormais ton cou pour y déposer plusieurs baisers. Ses mains qui caressent tes fesses, ses lèvres qui sucent, embrassent ton cou te rendent fou. Tu penches la tête en arrière, laissant un petit soupir de plaisir s'échapper de ta bouche. Tu as toujours était dingue de ses caresses et aujourd'hui un peu plus, lorsque tu te dis que c'est peut-être la dernière fois que tu y auras le droit. Tu as beaucoup réfléchi à cette idée de départ. Tu avais peur de quitter ton pays, Boris.Tu as beaucoup réfléchi à cette idée de départ. Même amoureux de lui, il a fallu que tu prennes une décision. D'ailleurs, il sera temps de lui annoncer. Il soulève ton t-shirt, pour déposer quelques baisers sur ton torse. C'est à ce moment-là que tu décides de l'arrêter. Si tu ne le fais pas maintenant, tu n'y arriveras plus. « Stop stop. » Que tu t'exclames, en posant tes mains sur son torse pour te reculer. Mais tu n'y arrives pas, car il te tient. « Lâche-moi Boris. » Il souffle et finit par te laisser t'enlever de son emprise. Tu t'assois à côté de lui, baissant de nouveau ton t-shirt. « Il faut que je te parle de quelque chose. » Il lève les yeux au ciel. « Ça peut attendre. » Qu'il murmure, approchant ses lèvres de ton cou. « Non. » Tu le repousses, avant que ses lèvres entrent en contact avec ta peau. Il souffle, agacé. « Ok, dis-moi. » Tu soupires doucement. Tu appréhendes la réaction de l'homme que tu aimes. « Tu sais que l'art est très important pour moi ? Tu te rappelles le sketch que je t'avais fait pour pouvoir continuer à aller apprendre l'art au lycée ? » Tu lui demandes, n'osant même pas le regarder. « Ouais. » Qu'il répond simplement, attrapant le joint qui été sur la table, pour le rallumer. « Et bien, mon professeur d'art a réussi à m'avoir une bourse pour la fac de Chicago, ils ont une très bonne filière... ». Tu ne peux même pas finir ta phrase. « Attends, t'es en train de me dire que tu te barres là ? » Oui, c'est exactement ce que tu lui dis. « Cette vie est faite pour toi Bo', pas pour moi. » Tu oses finalement jeter un regard vers lui. Et juste à son regard, tu comprends que ça ne lui plaît pas du tout et qu'il est énervé. « Tu te crois mieux que moi ? Mieux que nous ? Tu vaux rien, ta vie, elle n'est ici pas dans une putain d'université à la con. » Tu soupires. Tu savais que cela n'allait pas être facile. « Tu réagis comme un con. » Que tu t'exclames. Tu regrettes directement ce que tu viens de dire, en voyant le regard noir de Boris. « Tu veux te barrer ? Je vais te donner une bonne raison de dégager, moi. » Qu'il te dit avant de se lever. Tu n'as même pas le temps de réagir que tu te reçois un coup-de-poing dans la figure, faisant tourner ton visage. Il faut dire qu'il n'a pas la main légère. Tu ne peux t'empêcher de t'énerver et de rétorquer. Tu te relèves et le frappes à ton tour. Et c'est une ribambelle de coups qui s'enchaînent, avant qu'il te pousse sur le canapé, se mettant au-dessus de toi. Il a les mains serrées autour de ton cou. « Tu vas rester là. » Qu'il s'exclame, plus énervé que jamais. Il sert son emprise sur ton cou, te forçant à bouger dans tous les sens pour t'échapper de cette emprise. Grâce à un coup de genou dans ses parties génitales, tu arrives à t'échapper. Tu tousses, tandis qu'il se retrouve au sol. Tu n'as pas le temps de reprendre tes esprits. Tu dois partir. Tu sais que cette situation peut très vite dégénérer. Déjà, tu ne t'attendais pas à ce que ça se passe comme cela. Tu savais qu'il réagirait mal, mais pas au point de te mettre la main dessus. Il ne l'avait jamais fait auparavant. C'est en t-shirt et en caleçon que tu traverses ton quartier pour te rendre chez un ami.

Il a osé, osé lever la main sur toi et pas que la main pour le coup, il t'a bien amoché, après avoir essayé de te convaincre de rester. Et tel un lâche, tu as couru, tu es parti. Tu as préféré t'en aller, parce que tu ne savais pas de quoi il était capable, de ce qu'il pouvait te faire. Au vu de ce qu'il a fait à de nombreuses personnes. En l'espace de quelques minutes, tu as perdu totale confiance en lui que tu possédais depuis des années maintenant. Celui que tu admirais, que tu respectais, n'était donc plus rien pour toi. Pour un changement, c'est un sacré changement. Tu as également laissé ta mère, sans même la prévenir que tu quittais le pays. En même temps, la dernière fois que tu l'as vu, c'était il y a un an, Après avoir passé trois ans sans lui donner de nouvelles, tu t'es ramené chez elle. Bien sûr, elle t'a accueilli les bras ouverts, mais ce ne fut pas le cas de ton père, qui t'a interdit de reprendre contact avec elle. Alors, tu pars, sans prévenir personne. Tu t'envoles pour une nouvelle vie, pour un nouveau départ. Tu ne remercieras jamais assez ce professeur qui t'a permis d'avoir une bourse à l'université de Chicago, qui t'a aidé à trouver un appartement, et même un boulot. Même s'il ne faut pas se voiler la face, tu ne travailleras jamais pour la mairie. Arrivé là-bas, tu reprendras tes anciennes activités. Il n'y a pas meilleur moyen de se faire de l'argent et l'argent, tu vas en avoir besoin. Et puis, Chicago va être un terrain beaucoup plus grand que celui que tu avais à Lyon, ce qui va être d'autant plus plaisant pour toi. Tant que cela ne t'empêche pas de continuer tes études. Parce que oui, si aujourd'hui, tu choisis la facilité, dans quelques années, tu espères avoir un métier convenable et surtout légal. Peut-être que tu y arriveras, seul l'avenir nous le dira.

Moi c'est white.blood aka Sara !
J'ai 17 ans, je suis un panda et je vis en France. J'ai découvert le forum ici parce que j'y étais déjà démon à gueule d'ange. 4156847613 et je le trouve génial les koupins ! Mais il nous faut un smiley panda ! démon à gueule d'ange. 4114221111 ! Sinon, je serai connecté(e) 5j/7 en période scolaire et 7j/7 en période de vacance et 0j/7 en période de stage et je devrai pourvoir RP environ une  à deux fois par semaine (internat oblige).



Dernière édition par Mathias T. Da Costa le Ven 23 Oct - 14:02, édité 16 fois
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 2:33

j'ai changé de personnage, so, les admins, je vous laisse archiver cette fiche si ça vous dérange pas s'il vous plaît : Première fiche
merci I love you
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 3:36

Rebienvenue !

Citation :
je suis plutôt du genre à aimer les pénis...

Ça le mérite d'être clair démon à gueule d'ange. 2727460621
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 4:10

haha oui, avec Mathias tout est clair démon à gueule d'ange. 2727460621
Merci I love you
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Lux Ó Cearnaigh


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FONDATRICE - NOTRE MÈRE A TOUS
Je suis à Chicago depuis le : 03/06/2011 et j'ai déjà rédigé : 3705 messages. J'ai : 24 ans d'après mes amis. Dans la vie, je suis : doctorante (troisième année) en ingénierie, spécialisée en robotique

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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 9:42

J'ai archivé, c'est tout bon ! démon à gueule d'ange. 260456032
Re-bienvenue à la maison en tout cas, je vais te chercher un petit panda en smiley démon à gueule d'ange. 2798827211
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 9:48

RE-REBIENVENUE démon à gueule d'ange. 4156847613
Du coup tu prends plus le scena d'Uriah? démon à gueule d'ange. 2210928828
En tout cas hâte de voir ce personnage I love you démon à gueule d'ange. 260456032
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 10:04

il est vraiment trop chou cet avatar démon à gueule d'ange. 2210928828 j'adore
re-(re)bienvenue alors ange2
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 11:28

(Re) Bienvenue démon à gueule d'ange. 2798827211 démon à gueule d'ange. 3223503170 ** J'préfère les petits blonds hein :moustache:
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Sahel A. Friezmann


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Je suis à Chicago depuis le : 02/08/2015 et j'ai déjà rédigé : 3689 messages. J'ai : vingt quatre ans d'après mes amis. Dans la vie, je suis : étudiant, en 1ere année graduate ~ cinéma & médias

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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 11:58

Il est so cute lui **
Bienvenue parmi nous, enfin re !
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 12:05

Re bienvenue démon à gueule d'ange. 2798827211
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 15:42

(Re)bienvenue ** stress démon à gueule d'ange. 1152955153 démon à gueule d'ange. 1715864318 démon à gueule d'ange. 3541025950
Tu fais le rebelle à ce que je vois démon à gueule d'ange. 955221119 c'pas bien de se droguer!
Bref, bon courage pour la fin de ta fiche, ce personnage promet démon à gueule d'ange. 2798827211
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 20:54

@A. Lux Ó Cearnaigh
Merci  I love you
OMG oui, un smiley panda !  stress  stress  stress

@Sileas Harrison Et non finalement  démon à gueule d'ange. 2425217757
Merci I love you

@Charlie O. Winston-Jones Il ne faut pas se fier aux apparences démon à gueule d'ange. 2798827211
Merci  démon à gueule d'ange. 1152955153

@E. Olliver Clarck Moi je préfère les gros tuyaux et tu vois, j'ai été déçu par le tien, on a tous nos déceptions démon à gueule d'ange. 955221119
Merci I love you

@Sahel A. Friezmann Pareil que Charlie, il ne faut pas se fier aux apparences démon à gueule d'ange. 2798827211
Merci I love you

@Uriah Swanson Merci belle gueule I love you

@Logan J. Samuels  Merci cheri  coeur  démon à gueule d'ange. 1152955153  démon à gueule d'ange. 1715864318
Oui j'suis un petit foufou démon à gueule d'ange. 4114221111
Tu vas l'adorer, je sens  muais..


Dernière édition par Mathias T. Da Costa le Mer 21 Oct - 20:55, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 20:54

Haha ce mec c'est le joker, pokerface baby
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyMer 21 Oct - 20:56

c'est ça démon à gueule d'ange. 2798827211
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. EmptyJeu 22 Oct - 13:32

BIENVENUE SUR YIU !!! stress
Courage pour ta fiche démon à gueule d'ange. 2425217757
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MessageSujet: Re: démon à gueule d'ange.   démon à gueule d'ange. Empty

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