Lucky Blue SmithNé le 08 Septembre 1998 à New York City (USA), j'ai 17 ans et suis de nationalité Américaine et Australienne. Si vous voulez en savoir un peu plus sur moi, sachez que je suis plutôt riche et que je le vis bien ! Actuellement célibataire, je tiens à préciser que je suis plutôt du genre homosexuel... Désolé d'avance pour les cœurs brisés. Métier actuel : mannequinAncien étudiant de Chicago : nonAncien membre d'une confrérie : non | |
Personnalité & addictions
Drôle - 50% Réfléchi - 50% Créatif - 100% Travailleur - 90% Fêtard - 05% Narcissique - 00% | Artiste - 100% Amical - 80% Jaloux - 50% Méfiant - 100% Sportif - 10% Prude - 99% | Généreux - 100% Têtu - 70% Hautain - 00% Séducteur - 00% Honnête - 100% Joueur - 50% |
Alcool : 00% | Drogues : 00% | Sexe : 00% |
Renseignements multiples
Depuis quand vivez-vous à Chicago ? Cela va faire six mois maintenant.
Que pensez-vous de la ville et de l'université qui s'y trouve ? La ville est sympa je dois dire même si je ne la connais pas encore mais, je vais y remédier ! Pour ce qui est de l'université, je n'y suis pas encore allé alors donner mon avis serait un peu bête.
Et vous, qu'avez-vous fait comme études ? Et où ? J'étudie au domicile la photographie et aussi le stylisme.
Pourquoi avez-vous choisi de travailler à l'université de Chicago, et pourquoi à ce poste ? UNIQUEMENT SI VOTRE MÉTIER EST A L’UNIVERSITÉ (professeur, agent d'entretien & co). Cette partie est TRÈS importante car c'est elle qui déterminera votre acceptation dans ce métier. Il faut donc détailler vos motivations pour le poste, expliquer pourquoi lui et pas un autre... A ce stade, le Doyen viendra poster pour vous dire si oui ou non vous pouvez décrocher ce job à l'université ; si oui, vous pourrez continuer votre fiche et parler de votre emploi dans votre histoire. Si non, vous devrez changer de poste et parler de ce rejet dans votre histoire également, tout en replaçant bien évidemment les faits à l'époque où ils ont eu lieu (selon votre ancienneté).
Biographie
« On devient drogué parce qu'on n'a pas de fortes motivations dans une autre direction. La came l'emporte par défaut. J'ai essayé par curiosité. Je me piquais comme ça, quand je touchais. Je me suis retrouvé accroché. La plupart des drogués à qui j'ai parlé m'ont fait part d'une expérience semblable. Ils ne s'étaient pas mis à employer des drogues pour une raison dont ils pussent se souvenir. Ils se piquaient comme ça, jusqu'à ce qu'ils accrochent. On ne décide pas d'être drogué. Un matin, on se réveille malade et on est drogué. » Junky, William S. Burroughs.
Quand tu es né dans les bas-fonds du Bronx, il y a très peu de chances que tu grimpes dans l'échelle sociale, surtout sur la plus haute marche. Bien sûr, il y en a qui y parviennent mais ils sont plutôt rares. Un avantage par contre, tu apprends très vite à compter ton argent. J'ai appris les tables de multiplications à partir du moment où j'ai su parler et vraiment réfléchir. Ma mère m'a élevé seule et encore, si on peut appeler ça élever. Pour subvenir à nos besoins, elle tapinait dans les beaux quartiers, visant les hommes riches et mariés pour pouvoir les faire chanter. Ce n'est pas très glorieux, non même très sain mais, que voulez-vous, quand on n'a pas le choix... Et n'allez pas me dire que l'on a toujours le choix parce que c'est faux. Et puis un jour, alors qu'elle rendait visite à un ami, comme elle disait, elle a été prise entre deux feux et a pris une balle perdue. J'avais cinq ans, j'étais resté à la maison parce qu'il y avait trop de neige pour mes petites jambes. Il faisait bien trop froid pour mes petites mains d'enfant et je n'avais rien pour me couvrir, faute de moyens. Cet ami qu'elle devait voir, il a tenté de faire barrage avec son corps quand la fusillade a eu lieu, seulement, il n'était pas suffisamment épais pour tout encaisser. Cet ami, c'était mon père et aussi, le 'patron' de ma mère si vous voyez ce que je veux dire. Malgré ce qu'il lui demandait de faire pour sa dose et pour payer les factures, il était éperdument amoureux d'elle. Vous allez me demander pourquoi dans ce cas, il laissait ma mère s'occuper de moi sans jamais interagir avec son fils ? Et je vous répondrais simplement qu'il n'a pas voulu montrer sa déchéance à un enfant. Il voulait me préserver et les rares fois où je le voyais, il était sobre.
Quand les secours sont arrivés, ma mère a eu le temps de leur dire qu'il y avait un petit garçon seul dans un appartement à l'hygiène douteuse. Elle leur a dit qu'il fallait bien prendre soin de lui parce que c'était vraiment un petit ange et que, malgré la pauvreté, il était bien élevé et très poli. Elle a rendu son dernier souffle dans l'ambulance et ils n'ont pas pu la ranimer. Papa, lui, il est mort sur le coup et il n'a rien pu faire. Dans son veston il y avait un papier officiel qui stipulait que, le peu de richesse qu'il avait, me revenait de droit, qu'il avait aussi régler toutes les factures pour ne pas me laisser dans la panade. Mon père est un héros à mes yeux, un héros Junky certes, mais un héros à sa façon.
J'ai donc été placé dans un orphelinat mais cela n'a pas duré plus de six mois. Un homme est venu me voir, je trouvais qu'il ressemblait beaucoup à ma mère. Il avait les mêmes yeux, le même sourire. En fait, il était ma mère mais dans une version masculine. Le premier mot que je lui ai dit, c'était Paman. Un mixage entre maman et papa. Il m'a souri et m'a pris dans ses bras en me disant que tout irait bien, que je ne serais plus tout seul dorénavant. On a pris l'avion, ou plutôt, son jet privé et on est parti bien loin de New York, bien loin de la misère du Bronx, dans une ville appelée Canberra.
Dans ma nouvelle maison qui ressemblait à un château, autant par sa taille que par sa forme, il y avait un autre homme. Paman m'a expliqué que cet homme était l'amour de sa vie, qu'ils s'aimaient depuis très très longtemps. Oui, j'ai grandi avec deux papas. L'un était le frère jumeau de ma défunte mère et celui que je chéris le plus au monde. L'autre était son compagnon, un bel homme bien habillé et qui me donnait en douce des sucreries. Je n'avais plus aucune autre famille. Mes grands-parents maternels sont morts dans un accident. Mes grands-parents paternels quant à eux, c'était différent. Ma grand-mère avait été internée dans un asile et mon grand-père était en prison. Je n'avais donc que mon oncle, celui que j'appelais et que j'appelle toujours, Paman et son compagnon. J'ai aussi une demi-sœur, de dix ans mon ainée, mais elle est extrêmement bizarre avec tous ses trucs de spiritisme, c'est la gothique de la famille. Elle n'est pas méchante, bien au contraire. Quand j'ai débarqué dans sa vie, elle a de suite dit que j'étais à elle, que personne n'avait le droit de me brutaliser ou de me nuire d'une quelconque façon. Elle est possessive mais ce n'est pas dérangeant. Je me sens aimé, je pense que c'est le principal pour un ex-orphelin.
Les années ont passé et j'ai toujours été très entouré. D'ailleurs, je suis toujours très bien entouré. Malgré un début de vie chaotique, j'ai su me faire une place dans ce monde, grâce à ma famille. Je ne suis pas malheureux, je ne suis pas capricieux, en fait, je suis resté le même malgré les années qui se sont écoulées. Je n'ai pas la prétention de dire que je suis meilleur que les autres, j'ai pas mal de lacunes mais, je sais ce que je vaux. Je sais qui je suis.
Il y a maintenant quelques mois, six pour être précis, ma famille et moi, nous sommes arrivés à Chicago. Paman a eu une sorte de promotion et il a accepté de déménager de Canberra. Il a pu acheter un très grand appartement et notre vie a repris son cours.
| Moi c'est Gandalf !J'ai 100 vies d'homme, je suis un magicien et je vis en Terre du Milieu. J'ai découvert le forum en ratant une formule magique (a) et je le trouve fort sympathique ! Sinon, je serai connecté quand le Wifi sera coopératif, ce n'est pas simple dans mon pays et je devrai pourvoir RP environ 2 fois par semaine. |