(délai jusqu'au 23/10/15) Chanel Serena Clark - I'm the Baddest Female

Pourquoi avez-vous choisi d'étudier à l'université de Chicago ? Après avoir quitté l’Université de New York suite au scandale auquel ma famille a dû faire face, j’avais besoin de respirer un peu et de m’éloigner de la folie new-yorkaise. Ne voulant pas me faire quitter le continent mon père m'a envoyé dans la ville de Chicago. Ainsi, pour continuer mes études et obtenir mon Bachelor, il m'a  inscrite à l’Université de Chicago, après avoir entendu des éloges sur celle-ci.

Quelles sont vos sources de financement universitaire ? Mon papa s'occupe de tout, bien que je travaille aussi à côté, en tant qu'escort girl mais c'est un secret.

Que pensez-vous du système de confrérie ? Je pense que ce système est tout simplement génial. Ancienne présidente d’une sororité, je ne peux qu’être d’accord avec ce système de « factions ». En effet, il permet de repérer assez rapidement les personnes avec lesquelles nous avons le plus de points communs, bien que cela crée aussi une certaine ségrégation…

D'ailleurs, faites-vous partie d'une confrérie ? Si oui, depuis combien de temps ? Belle et svelte, l’image même de la femme indépendante, c'est exactement ce que je suis. Alpha Omicron Pi regroupe plus particulièrement les plus jolies filles. De ce côté, faut avouer que j’ai tout pour être satisfaite et satisfaire les désirs de cette maison. Je suis jolie, avec un corps mince et parfaitement sculpté, tous les hommes sont à mes pieds, bref je suis parfaite, une vraie beauté fatale. La séduction est une seconde nature chez moi.  Toujours à la pointe de la mode, j’aime être remarquée. On dit souvent de moi que je suis une petite garce manipulatrice et narcissique, sûrement à cause du fait que je sois une provocatrice, une mauvaise langue (oui, je n’ai pas peur de dire tout haut ce que les autres pensent tout bas quitte à être blessante) et une grande séductrice. Mais lorsqu’on me connaît un peu plus, on sait que malgré ma tendance à n’avoir que des histoires d’un soir et des relations pas souvent sérieuses (tendance due à une grande peur de l’attachement), j’ai un grand cœur et je suis toujours fidèle et loyale envers mes ami(e)s.
De plus, étant moi-même une ancienne présidente d’une sororité semblable à Alpha Omicron Pi, il était tout à fait normal que mon choix se dirige automatiquement vers cette confrérie.
Cependant, étant nouvelle dans cette université, je suis bien entendu retombée au stade de bizut.

« J’ai tué ma mère. »

Chanel a toujours grandi avec cette idée en tête. En effet, sa mère, une ancienne actrice très reconnue dans le milieu cinématographique comme étant l’une des plus grandes actrices russes, est morte en lui donnant naissance le 10 février 1992 à New York et c’est la raison pour laquelle, la jeune femme d’aujourd’hui vingt et trois ans déteste fêter son anniversaire qui lui rappelle cet incident. De plus son père, grand avocat de renommé mondiale et héritier d'une chaîne d'hôtels, a toujours rejeté la faute sur elle. Il ne lui a jamais témoigné une quelconque marque d’affection, ce n’est même pas lui qui l’a élevé. En effet, la petite Chanel Serena a été prise en charge par le personnel de maison et des gouvernantes venant du monde entier pour parfaire son éducation. Elle ne voyait son père qu’à l’occasion, lorsqu’il rentrait de ses nombreux voyages d’affaires. A l’école les enfants se moquaient d’elle parce qu’elle n’avait pas de maman. Alors oui, elle avait beau être riche et tout ce que vous voulez son enfance n’a pas été des plus belles. Jusqu’aujourd’hui, elle en souffre encore même si elle ne le montre pas. C’est d’ailleurs l’une de ses plus grandes faiblesses, si ce n’est la plus grande.


«Je déteste mon père. »

Lorsqu’elle eut l’âge d’entrer au collège, son père commença peu à peu à faire attention à elle, à se préoccuper d’elle et surtout à ne plus la considérer comme celle qui avait tué sa femme, mais comme sa fille. Cependant pour Chanel il était trop tard, elle avait pris l’habitude d’être indépendante et de ne vivre que pour elle-même. Alors malgré toutes les attentions de son père, il subsistait toujours des conflits entre, qui perdurent même encore aujourd’hui. C’est d’ailleurs à cette période que son fort caractère a commencé à faire surface et faut dire que ses fréquentations n’ont rien fait pour améliorer son comportement. En effet, la jeune fille aimait traîner dans les quartiers mal famés de New York, et était même devenue une sorte de princesse du ghetto. La jeune fille compris alors très vite les soudaines attentions de son père, lorsqu’elle le prit en flagrant délit en train de coucher avec une autre femme. Et cela n’a fait qu’empirer les choses dans leur pseudo-relation père/fille. Ce soir là, elle fugua pour la première fois de sa vie et c’est aussi ce soir là qu’elle le rencontra, Lui, celui avec qui elle passa plus d’un mois dans la rue. Il lui a fait connaître les « plaisirs de la vie », à savoir sexe, drogue et alcool. C’est d’ailleurs lors de cette période qu’elle s’est fait faire ses nombreux tatouages. La jeune fille âgée d’à peine quinze ans était devenue dépendante de Lui et surtout de la drogue qu’il lui fournissait. Elle ne vivait que pour lui et était prête à mourir pour lui. Par contre ce jeune homme de dix-sept ans dont elle était tombée éperdument amoureuse n’en voulait qu’à son argent. Une fois qu’elle fut à court d’économie, tout se passa très vite : elle ne le vit plus, n’eut aucune nouvelle et certaines rumeurs circulaient comme quoi il était mort. Elle sombra alors dans une dépression énorme causée autant par son manque de drogue, que par la soudaine disparition de l’homme qu’elle aimait. Après une semaine sans nouvelle, elle finit par rentrer chez son père qui l’envoya directement dans un centre de désintoxication où elle passa plusieurs mois.


« Je suis mauvaise, on me l’a toujours dit. »

Sa cure terminée, son père décida de déménager dans une plus grande maison où ils s’installèrent, elle, son père et sa future belle-mère. La jeune fille redevint alors celle qu’elle avait toujours été, à défaut qu’elle ne faisait plus confiance à personne et encore moins aux hommes avec lesquels elle jouait. Elle s’entendait de mieux en mieux avec sa belle-mère, mais pas avec son père. Il lui arrivait encore de fuguer lorsqu’elle se disputait avec lui, mais elle finissait toujours par rentrer aux bouts de quelques jours. Son but était devenu clair : son père lui avait pourri la vie, alors elle allait lui pourrir la sienne quitte à salir son nom. Alors oui, les conneries elle les enchaînait juste pour énerver son père qui n’osait même pas venir la chercher au commissariat. Et le pire dans tout ça, c’est qu’elle aimait ça. Elle aimait tout contrôler et se comporter comme la pire des garces avec les autres. Au moins, de cette façon, elle avait l’impression que rien ne pouvait l’atteindre. En tout cas, cette nouvelle version d’elle lui a permis de faire une entrée en beauté à l’université. En même temps, elle préfère passer pour la peste quasi parfaite que pour une ex droguée. Au fil du temps, suite aux conseils de son psy, elle s’est découvert alors une passion pour le stylisme, elle pensait en faire son métier plus tard, mais c’était sans compter sur son père qui avait déjà tout prévu : sa fille serait avocate.


« Suis-je en train de changer ? Hmm pas vraiment… »

Ainsi il y a quelques mois, son père l’a envoyé vivre à Chicago et l’a inscrite en droit à l'Université de Chicago contre son gré. Elle ne fout pas grand-chose en cours lorsqu’elle y va, elle fait juste acte de présence. En parallèle, elle travaille en tant qu'escort girl sans que personne ne le sache(sauf bien sûr ses clients...)Are you ready to die?

Moi c'est Mimi ! J'ai 23 ans, je suis une fille et je vis en France. J'ai découvert le forum topsite et je le trouve cool   ! Sinon, je serai connecté(e) 2-3/7 et je devrai pourvoir RP environ 2 fois par semaine.